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Accès
Il est aisé pour les quatre places latérales grâce à l’ouverture large des portières, à la hauteur adéquate du seuil et à la ligne de toit relativement plane. Le large tunnel de l’arbre de transmission complique cependant l’accès à la place centrale arrière.

Places avant
Le dégagement pour les jambes, les épaules et la tête abonde à l’avant de la cabine . Comme dans la plupart des BMW, le genou droit du conducteur frotte parfois contre la large console centrale, à plus forte raison lorsqu’il détend un peu la jambe durant de longs trajets.

Les sièges avant de série fournissent un confort de bon aloi, mais ils sont trop plats pour offrir un appui latéral optimal . De plus, le soutien lombaire est tout juste suffisant, et il faut allonger 400 $ pour qu’il devienne réglable!

Les sièges compris dans le groupe Sport M du xDrive35i s’avèrent nettement plus enveloppants grâce à leurs renforts latéraux proéminents. Plus fermes, ils comportent aussi un appui pour les cuisses réglable de l’avant vers l’arrière; voilà un luxe très apprécié des personnes de grande taille.

Position de conduite
Elle est haute, comme il se doit dans un utilitaire sport, sans toutefois donner l’impression d’un perchoir. La très longue portée du volant télescopique permet de s’installer à distance idéale des pédales tout en gardant les bras correctement fléchis. De plus, les longues glissières des sièges font le bonheur des conducteurs de grande taille.

L’accoudoir central bien positionné complète ce portrait positif, sans oublier la jante bien épaisse du volant , chauffante et gainée d’un cuir adhérent dans tous les modèles.

Places arrière
Deux adultes mesurant jusqu’à 1,83 m (6 pi) y trouveront suffisamment d’espace pour les jambes, même si des occupants de la même taille sont confortablement assis devant eux. Le dégagement au toit ne devrait leur causer aucun souci, même en présence du toit ouvrant panoramique .

Sans être inconfortable, la banquette arrière manque de galbe pour être véritablement invitante . Elle n’offre ni le réglage de l’assise ni l’inclinaison du dossier, commodités pourtant présentes dans nombre d’utilitaires moins chers que le X3. De plus, la place centrale étroite et dure ne convient qu’à des enfants, pour de courts trajets.

En revanche, des bouches de ventilation à débit et température réglables côtoient une prise 12 volts et un espace de rangement sur la console centrale . À cela s’ajoutent des vide-poches de bonne taille dans les portières, et un accoudoir central rabattable muni de porte-gobelets.

Espace de chargement
Long, large et haut sous les glaces , il fournit une capacité comparable à celle d’utilitaires réputés très logeables, comme le Toyota RAV4 et le Kia Sorento. Nous n’avons eu aucun mal à y placer l’équipement nécessaire à une fin de semaine de camping pour deux personnes, sans rabattre les dossiers de la banquette – qui ne forment pas un plancher tout à fait plat lorsqu’ils sont repliés .

Le groupe Rangement optionnel ajoute de solides crochets d’ancrage montés sur des rails, un filet et une sangle sur les parois latérales ainsi qu’un plancher réversible facile à nettoyer . Ces éléments rehaussent la polyvalence et la finition du coffre, déjà fort réussies.

Design et finition
L’habitacle remodelé en 2011 tranche agréablement avec la cabine démodée de l’ancien modèle . Le style du tableau de bord demeure sobre et fonctionnel, mais il intègre beaucoup mieux la nacelle des cadrans – plus clairs qu’avant – avec le bloc de commandes et le nouvel affichage centraux.

La qualité des matériaux a fait un bond notable: la grande majorité des surfaces du tableau de bord et des portières sont souples, et leurs textures et leurs teintes s’harmonisent parfaitement. L’assemblage précis et la finition chaleureuse, surtout avec les boiseries optionnelles, rendent l’intérieur très accueillant.

Commandes et instruments
BMW a profité de la refonte du X3 pour l’équiper de son système iDrive, qui regroupe plusieurs dispositifs dans une seule et même interface. Ainsi, la chaîne audio, la connexion Bluetooth, les réglages de commodité et, le cas échéant, le GPS sont tous accessibles par l’entremise d’un écran , d’une molette et de quelques boutons communs.

Cet arrangement permet de personnaliser une foule de paramètres et d’obtenir des renseignements détaillés sur le véhicule et ses fonctions de divertissement. Par exemple, un mode affiche un ordinateur de bord très complet , un autre présente une lecture du niveau d’huile , tandis qu’une page permet de consulter la liste de contacts de son téléphone cellulaire .

Tous les rivaux du X3 proposent une interface du genre, toujours plus complexe à manipuler que des commandes ordinaires. Or, le système iDrive se révèle l’un des moins intimidants. Sa molette principale tombe aisément sous la main et elle emploie une logique plutôt intuitive. En plus, l’ordinateur répond instantanément aux commandes, ce qui n’est pas le cas de tous les systèmes concurrents.

BMW a aussi prévu de vrais interrupteurs sur le tableau de bord et le volant pour accéder aux volets les plus couramment sollicités (stations de radio, téléphonie mains libres). Voilà qui permet de garder les yeux plus longtemps sur la route que sur l’écran.

Dans le même esprit, le système de ventilation a ses propres interrupteurs, complètement distincts de l’interface iDrive et faciles à décoder . Il maintient d’ailleurs une atmosphère agréablement constante lorsqu’il est réglé à 21 ou 22 °C.

Évidemment, un véhicule européen de luxe n’en serait pas un sans certaines commandes inhabituelles. Dans le cas du X3 (et de toutes les BMW), les leviers des clignotants et des essuie-glaces à impulsion exigent une adaptation, puisqu’ils reviennent toujours en position centrale aussitôt qu’on les relâche, plutôt que de rester enclenchés. Ainsi, on se trouve parfois à actionner le clignotant de gauche pour annuler celui de droite, situation embarrassante.

Le levier de vitesses fonctionne de la même manière. Il faut le pousser vers l’avant pour engager la marche arrière et le tirer vers l’arrière pour choisir la position Drive; un bouton indépendant sur le dessus de la manette actionne la position Park. Cette disposition va à l’encontre de la logique, et n’apporte aucun avantage par rapport à un sélecteur classique.

Audio et communication
Le système audio de série, dont était muni notre exemplaire, fournit une sonorité si claire et puissante que nous ne voyons aucunement la nécessité de recourir à la chaîne optionnelle. Seule la réception des stations de la bande FM nous a paru faible, même dans des endroits dégagés.

Par ailleurs, imposer un supplément de 450 $ pour la radio satellite, tel que le fait BMW, nous semble effronté, sachant que cette caractéristique est de série dans plusieurs compactes de moins de 25 000 $. Au moins le constructeur fournit-il un port USB et une prise auxiliaire de série, ce que Mercedes-Benz se refuse encore à faire dans le GLK 350.

Rangement
Contrairement à l’ancien modèle, le X3 redessiné propose deux véritables porte-gobelets avant qui n’entravent pas le mouvement du bras lorsqu’il est posé sur l’accoudoir central. Celui-ci cache les prises auxiliaires du système audio et un coffret tout juste assez grand pour contenir quelques menus objets. Un petit casier fermé à gauche du volant, un réceptacle ouvert de bonne taille à la base de la console et de larges vide-poches de portières complètent les options de rangement.

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