
Le dessin du Maverick est net, avec un design utilitaire. Les jantes d’acier complètent le thème sur la version de base XL.

La couleur bleue «Area 51» sied bien à cette camionnette.

La caisse du Maverick de base n’est pas munie de compartiments fermés sur les côtés. La caisse du modèle à l’essai avait un revêtement pulvérisé et la lunette arrière était munie d’une glace coulissante, deux options pratiques.

Avec le hayon sécurisé en position médiane, un contreplaqué de 4 x 8 peut être transporté à plat au-dessus des passages de roue.

Le moteur 2 L turbo du Maverick suffit nettement à la tâche. L’accès aux composants est un peu encombré, comme dans les deux autres modèles à l’essai.

La suspension arrière indépendante à ressorts hélicoïdaux procure une bonne maniabilité au Maverick.

Les sièges avant du Maverick sont très confortables même si leur dessin semble simpliste.

Les molettes et boutons-poussoirs de bonne taille sont faciles à utiliser.

La garniture de toit pâle et une fenestration assez grande rendent l’habitacle du Maverick clair et lumineux.

Le système multimédia est simple et facile d’utilisation.

L’alignement visuel pour l’arrimage d’une remorque est moins efficace que dans le Nissan Frontier.

De grands bacs de rangement se trouvent sous la banquette arrière.













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