Comment choisir une bonne cuisinière
Pour choisir la bonne cuisinière, voici les principaux critères à considérer : le type de surface de cuisson; les dimensions de l’appareil et son type d’installation; sa capacité; les options de la plaque et du four; son nettoyage; et sa consommation énergétique. Voici nos conseils pour faire le bon choix.
1. Choisissez un type de surface de cuisson : vitrocéramique, à induction ou au gaz
2. Vérifiez les dimensions de l’appareil et son type d’installation (encastrable ou autonome)
3. Penchez-vous sur la capacité du four
4. Examinez les options de la plaque de cuisson
5. Étudiez les options du four et sa configuration
6. Regardez les autres fonctions offertes
7. Pensez au nettoyage de la cuisinière
8. Optez pour un modèle écoénergétique
1. Choisissez un type de surface de cuisson : vitrocéramique, à induction ou au gaz
Plusieurs types de cuisinières classiques (combinant four et surface de cuisson) coexistent sur le marché. Notre test englobe les trois catégories les plus vendues, selon les fabricants : les cuisinières avec surface à vitrocéramique, les cuisinières à induction et les cuisinières au gaz.
Les cuisinières à serpentins, pour leur part, sont encore en vente sur le marché en raison de leur faible coût, mais elles ne viennent qu'avec des fonctionnalités de base; rares sont celles qui sont dotées d’un mode « convection » ou « autonettoyant », par exemple, et elles n’offrent pas de tiroir ou de rond réchaud ni de pont. Les cuisinières biénergie, quant à elles, regroupent deux types d’énergie en présentant deux sections différentes sur la plaque de cuisson ou en combinant une plaque de cuisson au gaz à un four électrique. Elles sont toutefois moins répandues, coûtent cher et nécessitent deux branchements différents.
Cuisinière avec surface à vitrocéramique
La cuisinière avec surface à vitrocéramique est le type le plus vendu actuellement en raison de son prix raisonnable. C’est également l’appareil le plus « clés en main » : il nécessite un branchement électrique commun de 220 volts (V) et ne requiert pas l’utilisation de casseroles particulières, contrairement aux modèles à induction. Sa surface lisse est facile à nettoyer, mais elle se refroidit beaucoup plus lentement que celle des cuisinières à induction. Nos tests montrent également que son mijoteur – soit le rond qui permet de chauffer les plats à basse température – fonctionne un peu mieux que celui des cuisinières à induction.
>> Consultez notre liste des meilleures cuisinières avec surface à vitrocéramique
Cuisinière à induction
En général, la cuisinière à induction offre les meilleures performances, mais elle coûte en moyenne près de 3 000 $, contre environ 1 300 $ pour un modèle en vitrocéramique et 1 800 $ pour une cuisinière au gaz. Sa surface de cuisson est très réactive aux changements de température : elle chauffe et se refroidit plus rapidement que celle des autres modèles testés. La plaque est pourvue de bobines produisant un champ magnétique qui traverse le verre et se transforme en chaleur au contact des casseroles compatibles. Le retrait d’une casserole arrête donc le processus, ce qui diminue le risque de brûlure et facilite le nettoyage; les aliments tombés ou projetés sur la table ne cuisent pas. La cuisinière à induction est aussi plus écoénergétique que la cuisinière avec surface à vitrocéramique.
Conseil : pour savoir si votre batterie de cuisine est compatible, vérifiez tout d’abord si elle affiche le logo ou la mention spécifique « induction ». Sinon, placez un aimant sur le fond extérieur d’une casserole; s’il reste aimanté, l’ustensile fonctionnera. À titre d’exemple, mentionnons que les chaudrons en fer, en fonte et en acier émaillé devraient passer le test, tandis que ceux en verre, en terre cuite, en céramique, en aluminium ou en cuivre ne pourront être utilisés.
>> Consultez notre liste des meilleures cuisinières à induction
Cuisinière au gaz
Les cuisiniers qui veulent changer rapidement l’intensité de la cuisson apprécient les brûleurs au gaz. Mais contrairement à la croyance populaire, ces « ronds » ne chauffent pas plus vite que ceux des cuisinières à induction. Par ailleurs, les cuisinières au gaz sont celles qui réussissent le moins bien à nos tests : elles sont plus difficiles à nettoyer, leur feu doux est souvent trop puissant, et bien que leur four se réchauffe plus rapidement – environ neuf minutes pour atteindre 150 °C (300 °F), contrairement à 13 minutes pour les autres –, il ne grille pas les aliments uniformément puisque la chaleur provient d’un petit brûleur très chaud, plutôt que d’un grand élément électrique.
Les cuisinières au gaz sont, comme celles à induction, assez chères, sans compter qu'elles nécessitent un branchement au gaz, ce qui exige une installation professionnelle et engendre des coûts supplémentaires. Elles sont généralement alimentées au gaz naturel – des ensembles de conversion au propane sont aussi offerts – et se branchent au réseau existant ou à une bonbonne de propane de 50 gallons ou plus située à l’extérieur de votre maison; dans ce cas, un régulateur de pression est nécessaire. Un des principaux avantages des cuisinières au gaz : leur surface de cuisson peut fonctionner en cas de panne de courant, ce qui est pratique si vous vivez dans une région où l’électricité manque souvent.
>> Consultez notre liste des meilleures cuisinières au gaz
2. Vérifiez les dimensions de l’appareil et son type d’installation (encastrable ou autonome)
Choisissez votre cuisinière en fonction de l’espace dont vous disposez et de l’endroit où vous l’installerez. La majorité des cuisinières ont une largeur d’environ 30 po (76 cm), mais varient en profondeur (entre 25 et 30 po [64 et 76 cm]) et surtout en hauteur (entre 36 et 48 po [91 et 122 cm]), selon l’emplacement des commandes. Mesurez l’espace disponible afin de vous assurer de choisir un modèle qui conviendra.
Les cuisinières autonomes (pose-libre, ou freestanding) sont les plus répandues sur le marché et offrent l’avantage de pouvoir être installées au bout d’un comptoir, puisqu’elles sont dotées de côtés finis. Les cuisinières encastrables ont quant à elles gagné en popularité, et plusieurs modèles sont maintenant offerts, peu importe la catégorie. Elles n’ont pas de dosseret; leurs commandes sont donc placées à l’avant de l’appareil, ce qui permet un accès plus direct et plus sécuritaire à cet électroménager lors de la cuisson des aliments. Certaines possèdent tout de même des côtés finis. D’autres offrent une plaque un peu plus large que l’appareil, qui se « dépose » sur le comptoir; cela évite que des aliments s’incrustent entre le comptoir et la cuisinière.
Conseil : assurez-vous d’avoir un espace approprié lors de la livraison et de l’installation de l’appareil. Songez aux cadres de portes, aux corridors et aux escaliers, qui sont fréquemment oubliés et qui pourraient représenter des obstacles.
3. Penchez-vous sur la capacité du four
La capacité d’une cuisinière correspond au volume intérieur disponible et est généralement affichée en pieds cubes (pi3). Elle vous donnera une bonne indication de l’espace dont vous disposerez pour y faire cuire vos aliments. Les modèles testés offrent des capacités de 4,5 à 7,1 pi3.
Sachez que la capacité affichée se veut davantage une indication qu’une donnée fiable qui correspond à la réalité. Les fabricants affichent souvent la donnée brute de la capacité, sans tenir compte de l’espace utilisé par les grilles, le ou les éléments ainsi que le ventilateur.
Par ailleurs, nos tests démontrent que la logeabilité d’un four dépend davantage du nombre de grilles dont il est pourvu et du nombre de positions disponibles pour ces grilles, puisqu’à capacité annoncée égale, certains appareils peuvent contenir des articles plus gros que d’autres. Un truc : apportez votre plat le plus volumineux en magasin pour savoir si l’appareil pourra l’accueillir.
Contrairement aux autres types de gros électroménagers pour lesquels la capacité varie beaucoup, la capacité qu'offrent les fours est généralement suffisante pour convenir aux besoins d’une famille de quatre. Privilégiez une capacité plus élevée si vous cuisiniez plusieurs plats d’un coup à la même température.
4. Examinez les options de la plaque de cuisson
• Élément mijoteur et réchaud : la plupart des appareils à vitrocéramique et à induction sont équipés d’un rond « mijoteur », ou « réchaud », qui maintient les plats à basse température, ce qui est idéal pour garder des plats chauds avant de les servir. Les modèles avec surface en vitrocéramique performent mieux à ce chapitre que les autres types d’appareils.
• Éléments expansibles : la majorité des surfaces en vitrocéramique sont pourvues d’un ou deux éléments expansibles, qui permettent d’adapter la surface de cuisson à la taille de votre casserole. Cette option est plus rare du côté des modèles à induction (seuls deux appareils, que nous recommandons, en sont équipés) et de celui des appareils au gaz (trois modèles en sont dotés, mais un seul est recommandé).
• Pont : le pont offre la possibilité de combiner deux éléments, ce qui est utile pour accueillir des marmites de très grande dimension. Cette option est présente sur quelques modèles dans chacune des trois catégories.
• Plaque de gril : quelques appareils au gaz sont également équipés d’une plaque servant à faire griller les viandes, que vous pouvez aussi utiliser pour faire mijoter un grand plat.
5. Étudiez les options du four et sa configuration
Cuisson
• Mode « convection » : ce mode permet une bonne distribution de la chaleur et une cuisson uniforme, ce qui s'avère utile pour faire cuire plusieurs plats en même temps sur différents niveaux du four. La convection permet généralement une cuisson plus rapide et à une température moins élevée que dans un four classique, ce qui est plus écoénergétique. La majorité des appareils que nous avons testés en sont munis. Il en existe deux types : la convection traditionnelle (ventilée, ou « américaine ») – qui se caractérise par un ventilateur placé au fond du four servant à bien répartir la chaleur provenant des éléments situés au haut et au bas du four – et la convection véritable (double, ou « européenne »), qui, elle, comporte en plus un élément chauffant circulaire situé près du ventilateur au fond du four. Notre test montre toutefois que le type de convection n’influence pas les performances des cuisinières. À retenir : si vous cuisinez peu au four, ou seulement un plat à la fois, vous n’avez pas besoin du mode « convection ».
• Fonction « gril » : cette fonction fait appel à l’élément principal du haut pour brunir le dessus de vos plats, en particulier pour terminer la cuisson des recettes gratinées.
Configuration
• Nombre de grilles et de positions : choisissez une cuisinière vous offrant le nombre de grilles – et de supports pour celles-ci – adapté à votre utilisation du four (deux au minimum). Vérifiez la présence d’un dispositif d’arrêt pour les grilles, pour éviter que celles-ci glissent ou basculent lors du retrait d’un gros plat; ce sera plus sécuritaire.
• Double four : utile si vous cuisinez souvent plusieurs plats à la fois à des températures différentes, comme une lasagne et un gâteau. La majorité des cuisinières qui en sont munies viennent avec un petit four situé au-dessus du four principal, et tous deux sont dotés de contrôles des températures indépendants. De plus, vous pourriez décider de ne mettre en marche que le petit four pour économiser de l’énergie puisque celui-ci se réchauffe rapidement. Sachez toutefois qu’il offre rarement le mode « convection ».
Par ailleurs, préparez-vous à vous pencher pour sortir un plat placé sur la grille inférieure du four principal, étant donné qu'il est situé tout près du sol; les cuisinières qui sont dotées d’un double four n’ont en effet pas de tiroir de rangement.
Un seul des appareils testés est équipé d’un double four, soit le KitchenAid YKFID500ESS. Il obtient une bonne note générale, sans toutefois être recommandé en raison de la fiabilité de cette marque, considérée comme plutôt « mauvaise ».
• Séparateur de four : plutôt qu’un double four, certaines cuisinières de très grande capacité offrent parfois une division à insérer à l’horizontale pour séparer le four en deux sections distinctes pouvant fonctionner en même temps, mais à des températures différentes. Par exemple, vous pourriez faire griller des aliments dans la section supérieure et cuire un autre plat dans la section inférieure.
• Tiroir de rangement : il accueille vos plaques de cuisson et libère de l’espace de rangement dans vos armoires. Le tiroir réchaud, pour sa part, permet de garder au chaud votre tourtière pendant que votre dinde termine sa cuisson, par exemple. Finalement, le tiroir de cuisson permet de réchauffer ou de cuire des aliments à une température différente; pratique pour les petites préparations, comme des biscuits.
• Fenêtre : vérifiez que le hublot de la porte est suffisamment grand pour vous permettre de voir facilement toutes les grilles de votre four, incluant celle du haut. D’ailleurs, mieux vaut éviter d’ouvrir la porte : cela a une influence importante sur la cuisson de vos aliments – surtout les gâteaux –, en plus d’être énergivore.
6. Regardez les autres fonctions offertes
• Verrouillage des commandes : empêche les enfants ou les gens maladroits de démarrer par inadvertance le four ou d’allumer les surfaces de cuisson – faciles d’accès – des modèles encastrables et des cuisinières au gaz. Heureusement, la majorité de ces appareils en sont dotés. Pour cette raison, privilégiez les commandes manuelles (boutons) qui doivent être enfoncées avant d’être tournées; elles offrent une plus grande résistance sans être difficiles à manipuler.
• Départ différé : entame la cuisson d’un plat à un moment programmé. Toutefois, nous vous déconseillons de mettre en marche une cuisinière si vous êtes absent; cela n’est pas sécuritaire.
• Connexion intelligente : quelques modèles haut de gamme sont munis d’une connexion Wi-Fi. Vous pouvez ainsi mettre en marche le four, en changer la température ou même suivre l’évolution de la cuisson n’importe où dans votre maison par le biais d’une application que vous aurez téléchargée sur votre téléphone ou votre tablette.
7. Pensez au nettoyage de la cuisinière
• Type de plaque : les surfaces de cuisson lisses – surtout celles des cuisinières à induction, sur lesquelles la nourriture projetée ne cuit pas – sont plus faciles à nettoyer que celles des appareils au gaz. La majorité des surfaces de cuisson lisses sont équipées d'un à quatre voyants lumineux vous indiquant que la plaque est chaude. Privilégiez celles qui sont dotées d'un voyant par rond : vous saurez exactement lesquelles sont encore chaudes.
À noter : les surfaces lisses sont toutefois sujettes aux bris; comptez de 300 à 1 000 $ pour remplacer une plaque endommagée. En cas de fissures, de fêlures ou de bris, il est impératif de déconnecter l’appareil et d’appeler un réparateur. Pour éviter d’endommager les plaques à induction, évitez d’y déposer des feuilles d’aluminium, qui fondent et se fusionnent avec la vitre; un peu comme le plastique sur une vitrocéramique.
En magasin : vérifiez que les grilles et les chapeaux des brûleurs des surfaces au gaz s’enlèvent facilement; cela vous sera utile pour le nettoyage. Pour leur part, les foyers – ces creux au centre desquels repose le brûleur – moins profonds sont plus faciles à entretenir.
• Éléments chauffants cachés : privilégiez les fours qui sont munis d’éléments cachés, surtout celui du bas. Puisqu’ils sont protégés, la nourriture tombée des grilles ne brûlera pas aussi facilement, ce qui facilite l’entretien de l'appareil.
Autonettoyage
Fours autonettoyants : grâce à cette fonction, vous n’aurez pas à accomplir cette tâche salissante et déplaisante, et vous gagnerez ainsi du temps. Sachez cependant que cette fonction est énergivore, qu'elle vous prive de votre four pendant un certain temps et qu'elle fait augmenter le prix de l’appareil. De plus, vous devrez tout de même effectuer une partie de la tâche vous-même (laver la porte, enlever les résidus restants, etc.). Il existe trois procédés d’autonettoyants, que nous vous décrivons ici.
• La pyrolyse (ou pyrolytique) : après avoir retiré les plus gros dépôts dans votre four, il ne vous reste plus qu'à enclencher le cycle d’autonettoyage. Le four se verrouille et fonctionne à une température très élevée (de 400 à 500 °C [de 752 à 932 °F]) de deux à quatre heures, selon les modèles, ce qui réduit la graisse et les saletés en cendre. Le processus est généralement efficace, mais il émet beaucoup de chaleur et dégage une odeur désagréable; assurez-vous d’avoir une ventilation efficace et d’ouvrir vos fenêtres.
• La catalyse (ou catalytique) : certaines parois internes des fours sont couvertes d’un matériau spécial et microporeux qui absorbe la graisse. Elles sont nettoyées pendant la cuisson normale du four, pourvu que la température soit supérieure à 200 °C (392 °F) pour au moins une heure. Les inconvénients : ce procédé n’élimine pas les sucres (contrairement à la pyrolyse) et, à l’usure, les parois se dégradent; vous devrez donc les remplacer environ tous les quatre à cinq ans.
• L’hydrolyse (à la vapeur, ou hydrolytique) : ce procédé est plus récent que les deux autres. Il combine eau et chaleur pour déloger les aliments collés au four. L'hydrolyse offre l’avantage de ne prendre qu’environ une heure et de fonctionner à une température moins élevée (environ 93 °C [200 °F]); elle est donc plus écoénergétique que la catalyse et la pyrolyse.
8. Optez pour un modèle écoénergétique
La consommation d’électricité est généralement un critère important lorsque vient le temps d'acheter un électroménager. Or, puisque l’isolant du four et l’étanchéité de sa porte ont été améliorés au fil des années, les « cuisinières d’aujourd’hui sont aussi écoénergétiques que le permet la technologie actuelle », indique le site web d’ÉnerGuide. Ainsi, « puisque l’écart entre les cotes de consommation d’énergie des différents modèles est minime, il n’y a aucune spécification Energy Star pour désigner les appareils de cuisson comme étant à haute efficacité. »
Sachez toutefois que, selon nos tests, les cuisinières à induction consomment près de 40 % moins d’électricité que les cuisinières avec surface à vitrocéramique. Les modèles testés consomment en moyenne 348 kWh/an dans le cas des premières, contre 569 kWh/an pour ce qui est des secondes. Il est à noter que les cuisinières au gaz ne sont pas contraintes d’afficher la quantité d’énergie utilisée par le modèle.
Pour réduire votre consommation :
• Privilégiez idéalement les modèles à induction.
• Activez le mode « convection » de votre four.
• Restez près de la cuisinière afin de réagir rapidement lorsque la température est atteinte.
• N’ouvrez pas la porte du four pour vérifier la cuisson des aliments.
• Nettoyez manuellement le four.
Sachez que la cuisinière électrique dégage une chaleur résiduelle, contrairement à celle qui est alimentée au gaz; laisser la porte du four ouverte après la cuisson vous donne donc la possibilité de chauffer rapidement la cuisine. Laisser la porte ouverte permet aussi de réduire le temps nécessaire aux ventilateurs pour refroidir les commandes des modèles encastrés.
>> Consultez notre test pour découvrir les cuisinières les plus écoénergétiques
>> Pour trouver la meilleure cuisinière, consultez notre liste des cuisinières recommandées ou utilisez notre comparateur de produits.
>> À lire aussi: Les marques d’électroménagers les plus fiables
>> À lire aussi: Les meilleurs magasins où acheter vos électroménagers
>> À lire aussi: Réparer ou remplacer votre four et votre cuisinière ?
L'envoi de commentaires est un privilège réservé à nos abonnés.
Déjà abonné? Connectez-vous