Airbnb, Uber et cie: les zones d’ombre de l’économie du partage

Contrairement au commentaire précédant, AirBnB nuit autant à l'industrie hôtelière que Uber à l'industrie du taxi... Pour avoir un gîte touristique, je peux vous en parler. Manifestement, je ne sais pas pourquoi les autorités attendent pour faire appliquer les règles et lois (puisqu'ils y en a en vigueur actuellement) dans le dossier de l'hébergement illégal, comme dans le cas du taxi... saisir les fautifs voilà la solution! Si non, dérèglementons toute l'industrie touristique et sacrifions toutes les années de travail des autorités à formuler et mettre en place la fameuse classification reconnue mondialement... Saisons de prélever l'impôt sur le revenu, les taxes à la consommations, la taxe sur l'hébergement... afin de promouvoir cette industrie touristique qui fait piètre figure au niveau internationale... et ainsi va Madame La Bastringue. Alors le choix est à vous, à nous et à eux!

Il ne faut pas confondre UberX et Airbnb. UberX s'attaque à l'industrie du taxi qui est règlementer par des lois. Airbnb ne nuit pas à aux hôtels. Ils occupent un nouveau créneau commercial. En effet, quelles chaînes d'hôtels louent des chalets, des maisons ou des appartements? La clientèle est fort différente. Ne pas payer les taxes et les impôts s'appellent maintenant: la mondialisation.

20% du prix de votre course avec UberX se retrouve dans un paradis fiscal. Qui paiera pour les routes sur lesquelles roulent ces prétendus don Quichotte du taxi?

Votre remarque est très pertinente. J'irais même plus loin : Pourquoi les grandes entreprises ne paient plus d'impôts et que les particuliers devraient compenser le manque à gagner? Quand aux monopoles et situations de rentes, ils sont arriérés et anti-concurrentiels. Il est temps de dérèglementer tout ca afin d'améliorer la qualité des produits et services offerts aux consommateurs.