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Condamnations

Ces condamnations ont été rendues publiques récemment. Certaines infractions ont été commises il y a plusieurs mois (voire même plusieurs années) puisqu’il s’écoule généralement un long moment entre l’instant où l’infraction est constatée et celui où le verdict est rendu.

282 résultat(s) correspond(ent) à votre recherche

  • L’Usine Crossfit Sherbrooke (Sherbrooke)
    05 juin 2022

    Studio de santé («gym») sans permis
    L’entreprise et un de ses administrateurs devront payer des amendes totalisant 5 750 $.

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    L’Usine Crossfit Sherbrooke (9281-3658 Québec) et l’un de ses administrateurs, Maxime Lequin Doré, ont reconnu avoir exercé des activités de studio de santé sans détenir de permis.

    L’entreprise devra payer une amende de 5 000 $ et son administrateur, de 750 $.

    Les faits reprochés se sont produits en octobre 2018. L’entreprise est située au 4796, boulevard Bourque, à Sherbrooke.

    Tout commerçant qui exploite un studio de santé doit être titulaire d’un permis délivré par l’Office de la protection du consommateur et fournir un cautionnement de 20 000 $ pour chacun de ses établissements. Ce cautionnement sert à garantir le respect de la loi et peut être utilisé pour dédommager les consommateurs en cas de fermeture de l’entreprise.

  • Restaurant Fung Shing, Les Produits d’alimentation Motta, Nouveau Sous-Marins Royal, Boucherie Cotto Crudo Bistro (Montréal), Restaurant District Bagel - Lucerne (Mont-Royal) et 7 autres
    05 juin 2022

    Présence d'insectes ou de rongeurs
    Des inspecteurs ont détecté la présence d’insectes ou de rongeurs dans ces établissements.

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    Ces commerces ont enfreint le règlement qui stipule que les lieux ou le véhicule doivent être exempts de contaminants, de polluants, de toute espèce d’animaux (y compris les insectes et les rongeurs) ou de leurs excréments.

    Restaurant Fung Shing 1102, boul. Saint-Laurent, Montréal, 3 000 $, mai 2021
    Les Produits d’alimentation Motta 303, av. Mozart Est, Montréal, 2 700 $, janvier 2021
    Nouveau Sous-Marins Royal 10, rue Bernard Ouest, Montréal, 2 500 $, juin 2021
    Boucherie Cotto Crudo Bistro 9297, boul. Saint-Michel, Montréal, 2 200 $, janvier et juillet 2021
    Restaurant District Bagel - Lucerne 709, chemin Lucerne, Mont-Royal, 1 600 $, mai 2021
    Nanthus Cuisine 6953, av. Victoria, Montréal, 1 600 $, avril 2021

    Pizza Charlevoix 2 pour 1 2563, rue du Centre, Montréal, 1 550 $, janvier et juin 2020
    Express Miramar 5250, rue Jarry Est, Montréal, 1 500 $, mars 2021
    Restaurant Impactaco 7091, rue Saint-Hubert, Montréal, 1 400 $, avril 2021
    Le Marché Fooderie 6680, av. du Parc, Montréal, 1 250 $, octobre et novembre 2020
    Miyoko Sushi 989, rue Labelle, Saint-Jérôme, 1 000 $, octobre 2021
    Marché Kim Hour 4777, av. Van Horne, Montréal, 1 000 $, septembre 2021

    Le mois inscrit représente la date à laquelle l'infraction a été commise (il s’écoule souvent un long moment entre l’instant où l’infraction est constatée et celui où le verdict est rendu). Le montant d'argent représente l'amende que le commerçant devra payer. Pour avoir plus de détails à propos de ces condamnations, consultez l'outil interactif de la Ville de Montréal ou du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec.

    Lorsqu'un commerce est reconnu coupable, cela ne signifie pas que l’ensemble de l'établissement est insalubre, d’autant plus que l’entreprise peut avoir corrigé ses pratiques depuis la visite des inspecteurs.

  • Les Délices du Maghreb, Super Marché BKR, Épicerie Al Dente Trattoria (Montréal), Le Buffet des continents (Québec), Pêcheur du marché (Dollard-des-Ormeaux) et 7 autres
    05 juin 2022

    Alimentation - malpropreté
    Ces établissements n’ont pas maintenu leurs locaux et leur matériel propres.

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    Les Délices du Maghreb 5627A, chemin Côte-des-neiges, Montréal, 3 600 $, mars et mai 2021
    Super Marché BKR 12251, boul. Laurentien, Montréal, 2 700 $, janvier 2021
    Épicerie Al Dente Trattoria 5768, av. de Monkland, Montréal, 2 000 $, juillet 2019
    Le Buffet des Continents 4250, 1re Avenue, Québec, 2 000 $, septembre 2020 (état généralisé)
    Pêcheur du marché 3464, boul. des Sources, Dollard-des-Ormeaux, 1 800 $, juin 2021
    Pâtisserie Sfingy’s 5800, boul. Cavendish E9, Côte Saint-Luc, 1 700 $, mai 2021
    Marché Drummond (Joe’s Panini) 1404, rue Drummond, Montréal, 1 500 $, février et mai 2021
    Ram Sweet Shop 1016, rue Jean-Talon Ouest, Montréal, 1 500 $, mars 2021
    La Maison Ho 1 800, rue Notre-Dame, Montréal, 1 500 $, mai 2021
    Dépanneur de l’Ouest 32, 45e Avenue, Montréal, 1 400 $, avril 2021
    Restaurant Bâton rouge 3839, boul. Saint-Jean, Dollard-des-Ormeaux, 1 000 $, septembre 2021
    Restaurant Petros Westmount 4785, rue Sherbrooke Ouest, Westmount, 1 000 $, mars 2021

    Le mois inscrit représente la date à laquelle l'infraction a été commise (il s’écoule souvent un long moment entre l’instant où l’infraction est constatée et celui où le verdict est rendu). Le montant d'argent représente l'amende que le commerçant devra payer. Pour avoir plus de détails à propos de ces condamnations, consultez l'outil interactif de la Ville de Montréal ou du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec.

    Lorsqu'un commerce est reconnu coupable, cela ne signifie pas que l’ensemble de l'établissement est insalubre, d’autant plus que l’entreprise peut avoir corrigé ses pratiques depuis la visite des inspecteurs.

  • Restaurant Buffalo Bill Wings (Montréal)
    05 juin 2022

    Entrave au travail d’une enquête
    Le restaurateur a notamment refusé de fournir des renseignements à l’inspecteur de la Ville. Il a depuis cessé ses opérations.

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    Le commerçant a été condamné pour avoir entravé le travail d’un inspecteur de la Ville de Montréal en tentant de l’induire en erreur, en l’intimidant ou l’injuriant et en négligeant ou refusant de lui fournir des renseignements qu’il était en droit d’obtenir. Il a également été blâmé pour ne pas avoir maintenu ses locaux et son matériel propres.

    Il a écopé d’amendes totalisant 7 600 $ pour des faits qui remontent à mai et juillet 2021.

    L’établissement est situé au 3171, rue Saint-Jacques, à Montréal. Il a depuis cessé ses opérations.

    Il s’écoule souvent un long moment entre l’instant où l’infraction est constatée et celui où le verdict est rendu. Pour avoir plus de détails à propos de cette condamnation, consultez l'outil interactif de la Ville de Montréal ou du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec.

  • Abattoir Louis Lafrance & Fils (Shawinigan)
    05 juin 2022

    Alimentation – Insalubrité
    Le commerçant shawiniganais a reçu des amendes pour des manquements liés à la salubrité des lieux.

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    Des amendes de 6 000 $ ont été imposées à l’Abattoir Louis Lafrance & Fils, situé au 255, rue des Bâtisseurs, à Shawinigan. Le commerçant a été reconnu coupable d’avoir exploité un établissement où les opérations de préparation, de transformation des produits, l’entreposage et toute autre opération pouvaient affecter la salubrité des lieux.

    Les inspecteurs ont constaté sur place les infractions en septembre, octobre et décembre 2019.

    À noter : il s’écoule souvent un long moment entre l’instant où l’infraction est constatée et celui où le verdict est rendu. Pour avoir plus de détails à propos de cette condamnation, consultez l'outil interactif de la Ville de Montréal ou du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec.

  • Poutine Lafleur et Super Marché Ontario (Montréal)
    05 juin 2022

    Exploitation d'un commerce sans permis
    Ces commerçants ont été condamnés pour avoir exercé des activités sans permis.

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    Le restaurant Poutine Lafleur, situé au 3665, rue Wellington, à Montréal, a, lui aussi, écopé d’une amende de 3 000 $ pour avoir exploité un lieu ou un véhicule à titre de restaurateur sans être titulaire d’un permis en vigueur. L’infraction a été relevée en février 2021.

    Même chose pour le Super Marché Ontario, dont les locaux sont situés au 2330, rue Ontario Est, à Montréal. Celui-ci devra payer une amende de 2 400 $ pour une entorse qui remonte à avril 2021.

    Il s’écoule souvent un long moment entre l’instant où l’infraction est constatée et celui où le verdict est rendu. Pour avoir plus de détails à propos de ces condamnations, consultez l'outil interactif de la Ville de Montréal 

  • Motos Illimitées (Terrebonne) et www.Autozoom.ca (Laval)
    04 juin 2022

    Exiger un prix supérieur au prix annoncé
    Les deux commerçants ont exigé un prix supérieur à celui annoncé sur leur site web.

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    Motos Illimitées a reconnu avoir exigé, en janvier 2019, un prix supérieur à celui annoncé sur son site web pour la vente d’une motocyclette et d’une motoneige. Selon l’Office de la protection du consommateur (OPC), il s’agit d’une récidive, puisque l’entreprise avait déjà été mise à l’amende pour des infractions semblables en juillet 2018

    L’entreprise, dont les locaux sont situés au 3250, boulevard des Entreprises, à Terrebonne, devra payer des amendes de 10 000 $.

    L’entreprise www.Autozoom.ca (Laval)

    Par ailleurs, l’entreprise www.Autozoom.ca a également été condamnée pour la même infraction. Celle-ci a exigé un prix supérieur à celui annoncé sur son site web lors de la vente d’automobiles d’occasion. Des consommateurs ont ainsi dû payer des « frais de remise à neuf » de 299 $, lesquels ont été ajoutés au prix de vente annoncé.

    L’entreprise a écopé d’amendes totalisant 9 000 $ pour des infractions qui remontent entre mars et mai 2019.

    Au moment des faits reprochés, l’établissement était situé au 4300, boulevard Dagenais Ouest, à Laval.

    Prix « tout inclus » : une obligation

    Au Québec, il est interdit à tout commerçant, fabricant ou publicitaire d’exiger un prix supérieur à celui qui est affiché. En outre, ces derniers sont tenus d’annoncer un prix « tout inclus », qui comprend tous les frais, sauf les taxes.

  • ACCAIR (L’Ancienne-Lorette) et Groupe Éco-Énergétique Provincial (Québec)
    04 juin 2022

    Allégations trompeuses
    Ils ont utilisé un prétexte pour solliciter la vente de produits dans le domaine énergétique.

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    L’entreprise ACCAIR a été condamnée pour avoir utilisé un prétexte pour solliciter la vente d’une thermopompe. Elle a, en effet, proposé à une consommatrice de visiter sa propriété pour trouver des moyens de réduire sa facture d’électricité.

    L’entreprise devra payer une amende de 3 000 $ pour une infraction commise en mai 2019, à Larouche.

    Au moment des faits reprochés, l’établissement était situé au 1763, rue Notre-Dame, à L’Ancienne-Lorette.

    Groupe Éco-Énergétique Provincial 

    Le Groupe Éco-Énergétique Provincial (9321-0193 Québec) et son administrateur, Jayson Verret, ont également été condamnés pour avoir utilisé un prétexte pour solliciter la vente d’un récupérateur aérothermique en mettant de l’avant l’obtention d’une subvention gouvernementale. 

    L’Office de la protection du consommateur (OPC) leur reprochait aussi d’avoir omis de reprendre l’appareil et de remettre les lieux dans leur état d’origine après qu’une consommatrice ait décidé d’annuler son contrat.

    L’entreprise a reçu des amendes de 4 546 $, alors que son administrateur devra payer 2 092 $.

    Les infractions ont été commises à Sherbrooke, en mai et juin 2018. Au moment des infractions, les locaux de l’entreprise étaient situés au 332, avenue Saint-Sacrement, à Québec.

    L’OPC rappelle que tout consommateur qui signe un contrat avec un commerçant itinérant dans le domaine de l’énergie (thermopompes, panneaux solaires, isolation) dispose d’un délai de 10 jours pour l’annuler. De plus, le droit d’annulation peut s’exercer même si le commerçant a déjà procédé aux travaux ou à l’installation de l’appareil.

  • Carole Grenier
    04 juin 2022

    Vendeur d’autos sans permis (Faux particulier)
    Elle a fait du commerce itinérant sans permis.

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    Carole Grenier a été condamnée pour avoir fait l’acquisition d’automobiles en vue de les revendre sans détenir le permis requis par la loi. Elle devra payer des amendes de 2 846 $.

    Les infractions reprochées par l’Office de la protection du consommateur ont été commises à Trois-Rivières, entre décembre 2018 et février 2019.

    Toute personne qui fait le commerce d’automobiles neuves ou d’occasion, de motos et de véhicules récréatifs doit posséder un permis. Même chose pour les personnes qui sont rémunérées pour agir comme intermédiaires entre des consommateurs dans le cadre de la vente de véhicules d’occasion.

    La loi impose aux commerçants d’automobiles des obligations spécifiques destinées à protéger les consommateurs. Pour obtenir un permis de l’Office, ils doivent notamment déposer un cautionnement qui peut servir à les indemniser.

  • Samuel-Stefi Cirpaci
    29 avril 2022

    Vendeur d’autos sans permis (Faux particulier)
    Il a agi comme commerçant d’automobiles sans détenir de permis.

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    Samuel-Stefi Cirpaci a été condamné pour avoir acquis des automobiles dans le but de les revendre sans détenir le permis requis par la loi. Il devra payer des amendes de 6 300 $.

    Les faits reprochés par l’Office de la protection du consommateur ont été commis à Laval, entre novembre 2019 et juin 2020.

    Toute personne qui fait le commerce d’automobiles neuves ou d’occasion, de motos et de véhicules récréatifs doit posséder un permis. Même chose pour les personnes qui sont rémunérées pour agir comme intermédiaires entre des consommateurs dans le cadre de la vente de véhicules d’occasion.

    La loi impose aux commerçants d’automobiles des obligations spécifiques destinées à mieux protéger les consommateurs. Pour obtenir un permis, ils doivent notamment déposer un cautionnement qui peut servir à les indemniser.

  • MTP Climatisation – Chauffage (Mascouche)
    29 avril 2022

    Thermopompes - Représentations trompeuses (commerce itinérant)
    Le commerçant a utilisé un prétexte pour solliciter la vente de thermopompes et fait croire entre autres qu’il était affilié à Transition énergétique Québec.

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    L’entreprise MTP Climatisation - Chauffage, qui fait maintenant affaires sous le nom de MTP Groupe Éco-Énergie, a été condamnée pour avoir utilisé un prétexte pour solliciter la vente de thermopompes, soit de pouvoir bénéficier d’une subvention gouvernementale. Elle a écopé d’amendes totalisant 21 383 $.

    Le président de l’entreprise, Michel Pelletier, et l’un de ses représentants, Jean-Philippe Bouchard, ont également été blâmés. Ils devront tous les deux payer des amendes respectives de 2700 $ et 1046 $.

    Par ailleurs, l’Office de la protection du consommateur (OPC) reprochait au commerçant d’avoir fait des représentations fausses ou trompeuses sur les taux d’intérêt, d’avoir omis de mentionner qu’un programme était une hypothèque inversée et d’avoir prétendu être affilié à Transition énergétique Québec, alors que c’était faux.

    Au nombre des infractions, l’OPC mentionne aussi l’utilisation d’un contrat non conforme en matière de commerce itinérant et l’absence de formulaire de résolution du contrat.

    Les infractions se sont produites à Montréal entre août et novembre 2018, ainsi qu’à Mascouche en février 2019.

    Au moment des faits reprochés, l’établissement était situé au 2877, chemin Gascon, bureau 10, à Mascouche.

  • Avances d’argent rapides (McMasterville)
    29 avril 2022

    Entrave au travail d’une enquête
    Le commerçant a refusé de fournir des renseignements à l’enquêteuse de l’Office de la protection du consommateur.

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    L’entreprise Avances d’argent rapides et son président, Alexandre Ben-Hassen, ont écopé d’amendes totalisant 3546 $ pour avoir entravé le travail d’une représentante de l’Office de la protection du consommateur (OPC).

    L’affaire remonte à juillet 2019, à Beloeil, alors qu’ils ont refusé de fournir à l’enquêteuse les renseignements demandés et de lui remettre les documents qu’elle avait le droit d’obtenir dans l’exercice de ses fonctions.

    Au moment de l’infraction, l’entreprise était située au 220, rue William, à McMasterville.

    L’OPC signale que le permis de prêteur d’argent de ce commerçant a été annulé en 2020.

    Rappelons qu’il est interdit d’entraver le travail d’un enquêteur de l’OPC dans l’exercice de ses fonctions. Il est également interdit de le tromper ou de refuser de lui fournir un renseignement ou un document qu’il a le droit d’exiger. Le contrevenant s’expose à des amendes de 600 $ à 15 000 $ dans le cas d’un individu, et de 2000 $ à 100 000 $ pour une entreprise.

  • Fatihi auto (Montréal-Est)
    29 avril 2022

    Contrat non conforme
    Le commerçant devra payer une amende de 1250 $.

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    Le concessionnaire automobile Fatihi auto a reconnu avoir inscrit une clause interdite dans un contrat, laquelle visait à exclure ou à restreindre la portée de la garantie prévue aux articles 37 et 38 de la Loi sur la protection du consommateur.

    L’entreprise devra payer une amende de 1250 $ pour une infraction commise en décembre 2018.

    L’établissement est situé au 483, avenue Broadway, à Montréal-Est.

    L’Office de la protection du consommateur rappelle que certains types de clauses sont interdites dans un contrat de consommation, dont celles qui visent à exclure ou à limiter la garantie prévue par la Loi. Même si celles-ci sont sans effet aux yeux du tribunal, le seul fait d’inscrire l’une d’elles au contrat peut laisser croire au consommateur qu’elle s’applique, ce qui risque de lui faire renoncer à certains droits.

  • Ruben Saldana (Prêt AcceptT) (Montréal)
    29 avril 2022

    Contrats de prêt non conformes
    L’entreprise ajoutait des frais administratifs qui faisaient grimper les taux de crédit jusqu’à 258 %.

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    Ruben Saldana, faisant affaire sous le nom de Prêt AccepT, a admis avoir consenti des prêts d’argent à des consommateurs sans utiliser un contrat conforme. Il devra acquitter des amendes de 2396 $.

    L’Office de la protection du consommateur (OPC) indique que le capital net inscrit sur les contrats ne représentait pas le montant remis au consommateur. Des frais administratifs étaient ajoutés, alors qu’ils auraient dû être considérés comme une composante des frais de crédit.

    Le contrat indiquait un taux de crédit de 30 %. Or, les taux de crédit réels calculés conformément au règlement variaient de 93 % à 258 %. Rappelons que l’OPC considère qu’un taux de crédit supérieur à 35 % est abusif.

    La loi impose aux prêteurs d’argent d’être titulaires d’un permis de l’OPC afin de protéger les consommateurs. La loi comporte des exigences spécifiques quant au contenu du contrat, dont l’obligation d’y indiquer le taux de crédit en précisant tous les éléments qui doivent être inclus dans le calcul. De plus, la loi accorde au consommateur le droit d’annuler le prêt dans les deux jours suivant celui où il reçoit sa copie du contrat.

    Les faits reprochés se sont produits en novembre et décembre 2018.

    L’établissement est situé au 10557, avenue Péloquin, bureau 5, à Montréal.

  • Rénothermo (Montréal)
    29 avril 2022

    Représentations trompeuses et contrats non conformes (commerce itinérant)
    L’entreprise prétendait que les combles des maisons visitées étaient contaminés par des moisissures.

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    L’entreprise Rénothermo et son président, Charles Bernard, ont été mis à l’amende pour avoir utilisé un prétexte pour solliciter la vente de travaux d’isolation des combles, soit d’offrir une inspection gratuite d’évaluation. Ils ont aussi eu recours à des arguments de vente faux ou trompeurs en prétendant qu’il y avait contamination par des moisissures.

    De plus, l’Office de la protection du consommateur signale qu’ils ont utilisé des contrats non conformes en matière de commerce itinérant.

    L’entreprise devra acquitter des amendes totalisant 21 092 $ et son président, 8544 $.

    Un représentant de l’entreprise, Guy Demers, a, pour sa part, été condamné pour avoir prétendu que les combles étaient contaminés par des moisissures, alors que c’était faux. Il devra payer 750 $ d’amende.

    Les infractions ont été commises entre mars et mai 2019, à Sherbrooke, et en juin 2019, à Montréal.

    Au moment des infractions, l’établissement était situé au 6179, rue Périnault, à Montréal.

  • Maple Call (Windsor)
    29 avril 2022

    Infractions à la Loi sur la protection du consommateur
    L’entreprise, qui fournit des services téléphoniques d’appels interurbains, écope de plus de 6000 $ d’amendes.

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    L’entreprise Maple Call et son administrateur, Nazariy Bilobran, ont reconnu avoir exigé une somme d’argent à des consommateurs pour des services qu’ils n’avaient jamais demandés.

    L’entreprise devra payer 5000 $ d’amendes et Nazariy Bilobran, 1046 $.

    Les infractions ont été commises en janvier et en avril 2019, à Laval et à Montréal.

    L’Office de la protection du consommateur rappelle que des règles particulières de la Loi sur la protection du consommateur encadrent les contrats à exécution successive de service fourni à distance, dont les contrats de téléphonie cellulaire et résidentielle, de services de télévision et d’accès à Internet. Celles-ci s’appliquent à plusieurs aspects du contrat, notamment les renseignements obligatoires qu’il doit comprendre, son renouvellement et l’annulation.

    Le siège social de l’entreprise est situé à Windsor, en Ontario.

  • Manon Cayen (Ville de Brownsburg-Chatham)
    29 avril 2022

    Fraude fiscale
    L’ex-employée de la ville a détourné des fonds de la municipalité à des fins personnelles.

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    Une ancienne employée de la Ville de Brownsburg-Chatham, Manon Cayen, a été condamnée pour avoir détourné des fonds de la municipalité à des fins personnelles. Elle devra payer des amendes totalisant 24 447 $.

    L’ex-fonctionnaire, qui travaillait comme préposée aux requêtes et au service à la clientèle de la municipalité, a reconnu avoir détourné des sommes totalisant 5587 $ lors de 19 transactions avec des citoyens en 2018 et 2019.

    L’Autorité des marchés financiers indique que l’ex-employée était appelée à interagir avec les citoyens lorsqu’ils venaient effectuer des paiements à l’hôtel de ville, par exemple pour payer leur compte de taxes municipales ou leurs frais de permis. Lorsqu'un citoyen effectuait un paiement en argent comptant, elle annulait la transaction après le départ de ce dernier. Après s'être approprié les fonds, elle modifiait les registres pour inscrire un solde à payer de 0 $ pour le citoyen.

    Au total, 14 inscriptions fausses ou trompeuses ont été effectuées dans les registres de la municipalité en 2018 et 2019, totalisant ainsi 12 571 $.

    Cette condamnation découle d'une enquête réalisée conjointement par Revenu Québec et l'Unité permanente anticorruption (UPAC).

  • Placements Trimax et Groupe Trimax (Laval)
    29 avril 2022

    Fraude fiscale
    Richard Gravel et son entreprise écopent de sévères amendes totalisant plus de 2,5 millions de dollars.

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    Placements Trimax et Groupe Trimax, ainsi que son administrateur, Richard Gravel, ont été condamnés à des amendes totalisant plus de 2,5 millions de dollars pour avoir pris part à un stratagème de fraude fiscale. L’homme a également écopé d’une peine de 36 mois de prison.

    Revenu Québec indique que Richard Gravel a élaboré un stratagème visant à obtenir indûment des crédits de taxe et des remboursements de taxe sur les intrants. Selon l’agence gouvernementale, 170 fausses transactions ont été relevées entre le 1er avril 2008 et le 30 mai 2011. Les pertes fiscales s’élèvent à plus de 1,3 million de dollars.

    Au total, M. Gravel et son entreprise faisaient face à 84 chefs d'accusation. Ils ont été déclarés coupables de la totalité des chef dans un jugement rendu en septembre 2021 après 45 jours d’audition. Ils ont porté cette décision en appel. L’audition a été fixée en janvier 2023.

  • Financière Banque Nationale
    29 avril 2022

    Valeurs mobilières – Manquements
    L’entreprise écope d’une pénalité de 500 000 $ pour ne pas avoir remis un exemplaire des prospectus dans les délais prescrits.

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    Le Tribunal administratif des marchés financiers a imposé une pénalité de 500 000 $ à l’entreprise Financière Banque Nationale pour ne pas avoir remis dans les délais prescrits un exemplaire des prospectus, comme l’exige la réglementation.

    L’affaire fait suite à la découverte de défauts dans les mesures de contrôle mises en place par l’entreprise. Les infractions, qui sont survenues entre juin 2018 et novembre 2019, ont touché plus de 13 500 clients ayant acquis 24 168 billets à capital non protégé émis par la Banque Nationale.

    Selon l’Autorité des marchés financiers, l’entreprise a depuis fait parvenir à l’ensemble de ses clients les prospectus concernés accompagnés d’un avis.

  • Performance N.C. Valcourt (Valcourt)
    29 avril 2022

    Pratiques illégales (assurances)
    L’entreprise a exercé des pressions sur des clients pour les inciter à se procurer des produits financiers.

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    L’entreprise Performance N.C. Valcourt a écopé de deux amendes de 6500 $ pour avoir exercé des pressions indues sur des clients ou avoir employé des manœuvres dolosives pour les inciter à se procurer des produits financiers.

    L’entreprise, qui vend et répare des véhicules récréatifs, a été condamnée en janvier dernier dans le cadre d’une poursuite pénale intentée par l’Autorité des marchés financiers.

    Dans sa décision, la juge de la Cour du Québec, Tanya Larocque, a déclaré que l’ensemble de la preuve déposée par l’Autorité démontre que les employés de l’entreprise ne se sont pas acquittés de leur obligation de renseigner leurs clients en vendant des produits d’assurance à leur insu et en omettant de leur remettre des documents.