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Condamnations

Ces condamnations ont été rendues publiques récemment. Certaines infractions ont été commises il y a plusieurs mois (voire même plusieurs années) puisqu’il s’écoule généralement un long moment entre l’instant où l’infraction est constatée et celui où le verdict est rendu.

219 résultat(s) correspond(ent) à votre recherche

  • Rénotrust (Blainville)
    20 Mars 2023

    Représentations trompeuses et contrats non conformes (commerce itinérant)
    L’entreprise a utilisé un prétexte pour vendre des thermopompes.

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    L’entreprise Rénotrust a indiqué à des clients potentiels qu’ils pouvaient bénéficier de conseils pour réduire leur facture d’électricité, alors qu’il s’agissait d’un prétexte pour leur vendre une thermopompe.

    Le représentant de l’entreprise a aussi fait des représentations trompeuses à une consommatrice, en prétendant que son système de climatisation allait bientôt être interdit. Il a aussi omis de restituer dans le délai prescrit les sommes versées par une consommatrice, après que cette dernière eut résilié le contrat.

    Rénotrust a écopé d’amendes totalisant 10 737 $ pour des infractions à Lac-Mégantic et à Longueuil.

    Au moment des infractions, l’établissement était situé au 905, boulevard Michèle-Bohec, bureau 105, à Blainville.

    Rappelons que les consommateurs qui signent un contrat avec un commerçant itinérant disposent d’un délai de 10 jours pour l’annuler. Celui-ci peut être porté à un an si le commerçant a négligé certaines de ses obligations. De plus, le droit d’annulation peut s’exercer même si le commerçant a déjà procédé aux travaux ou à l’installation de l’appareil.

  • Ronald Riodin, C R Auto
    20 Mars 2023

    Vendeur et recycleur d'autos sans permis
    L’Office de la protection du consommateur annule le permis de commerçant de véhicules routiers de C R Auto.

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    L’office de la protection du consommateur (OPC) a pris en considération les plaintes de consommateurs reçues à l’encontre de C R Auto de Montréal, au sujet du recul de l’odomètre de véhicules. Ces plaintes concernent 26 transactions où le kilométrage indiqué à l’odomètre était incohérent avec l’historique du véhicule.

    En janvier 2023, l’OPC a jugé que l’entreprise ne peut assurer, dans l’intérêt public, l’exercice honnête et compétent de ses activités commerciales.

    L’entreprise avait aussi tenté de dissimuler l’implication dans l’entreprise de M. Ronald Riodin, président de Groupe Riodin, dont le permis avait déjà été révoqué pour des motifs semblables.

    La loi impose aux commerçants d’automobiles des obligations spécifiques destinées à mieux protéger les consommateurs

  • Gestion Multi-Finance (Saint-Alphonse-de-Granby)
    20 Mars 2023

    Contrats de prêt non conformes
    L’entreprise a inclus dans des contrats de prêts d’argent à coûts élevés des pénalités non conformes à la Loi sur la protection du consommateur.

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    L’entreprise a consenti un prêt d’argent à un consommateur sans utiliser un contrat conforme. Elle a plaidé coupable à une accusation portée en vertu de la Loi sur la protection du consommateur (LPC) et payé une amende 1 657 $.

    Alors que le contrat indiquait un taux de crédit de 18,83 %, le taux de crédit réel calculé conformément au règlement était de 382 %. L’Office considère qu’un taux de crédit supérieur à 35 % est abusif.

    La LPC impose aux prêteurs d’argent d’être titulaires d’un permis de l’OPC. La loi comporte des exigences spécifiques pour le contenu du contrat, dont l’obligation d’indiquer le taux de crédit, en précisant tous les éléments qui doivent être inclus dans le calcul de ce taux. La LPC accorde aussi au consommateur le droit d’annuler le prêt dans les deux jours suivant celui où il reçoit sa copie du contrat.

  • Marie-Ève Rosa, Gestion PPA
    20 Mars 2023

    Contrats de prêt non conformes
    L’entreprise a inclus dans des contrats de prêts d’argent à coûts élevés des pénalités non conformes à la Loi sur la protection du consommateur.

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    En août 2018, l’entreprise Gestion PPA, dont Mme Marie-Ève Rosa était administratrice au moment des faits, a consenti des prêts d’argent à des consommateurs ayant fait des demandes sur le site web pretpouraider.com, sans utiliser un contrat conforme. Le capital net indiqué dans les contrats ne représentait pas les montants remis aux consommateurs. Des frais d’adhésion étaient ajoutés, alors qu’ils auraient dû être considérés comme une composante des frais de crédit. Ainsi, alors que les contrats indiquaient un taux de crédit de 20 %, le taux de crédit réel calculé conformément au règlement se situait entre 129 % et 218 %. L’Office considère qu’un taux de crédit supérieur à 35 % est abusif.

    Gestion PPA et son administratrice ont plaidé coupables à une accusation portée en vertu de la Loi sur la protection du consommateur (LPC). La compagnie a écopé d’une amende de 1587 $ et son administratrice de 1087 $.

    L’OPC rappelle qu’au Québec, la LPC impose aux prêteurs d’argent d’être titulaires d’un permis de l’OPC. La loi comporte des exigences spécifiques pour le contenu du contrat, dont l’obligation d’indiquer le taux de crédit, en précisant tous les éléments qui doivent être inclus dans le calcul de ce taux. La LPC encadre également la publicité sur le prêt d’argent. Elle accorde aussi au consommateur le droit d’annuler le prêt dans les deux jours qui suivent celui où il reçoit sa copie du contrat.

    La loi introduit également la notion de crédit à coût élevé dès que le taux de crédit dépasse de plus de 22 points de pourcentage le taux officiel d’escompte de la Banque du Canada. Les commerçants qui offrent du crédit au-delà de ce seuil doivent être titulaires d’un permis spécifique, en plus d’un permis de prêteur d’argent.

  • Prêt sans Enquête, Michel Nadeau (Bromont)
    20 Mars 2023

    Contrats de prêt non conformes
    L’entreprise a plaidé coupable pour avoir inclus dans des contrats de prêts d’argent à coûts élevés des pénalités non conformes à la Loi sur la protection du consommateur.

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    L’entreprise de Bromont Prêt sans Enquête, dont Michel Nadeau était président au moment des faits, a consenti des prêts d’argent à des consommateurs ayant fait des demandes sur le site web pretsansenquete.ca, sans utiliser un contrat conforme et sans divulguer le taux de crédit conformément à la loi.

    Ainsi, alors que le contrat indiquait un taux de crédit de 23 %, les taux de crédit réels calculés conformément au règlement variaient entre 117 % et 430 %. L’Office considère qu’un taux de crédit supérieur à 35 % est abusif.

    Prêt sans Enquête et son président Michel Nadeau ont plaidé coupables et écopé d’une amende de 13 845 $ pour l’entreprise et de 1 050 $ pour Michel Nadeau.

    L’OPC rappelle qu’au Québec, la LPC impose aux prêteurs d’argent d’être titulaires d’un permis de l’OPC. La loi comporte des exigences spécifiques pour le contenu du contrat, dont l’obligation d’indiquer le taux de crédit, en précisant tous les éléments qui doivent être inclus dans le calcul de ce taux. La LPC encadre également la publicité sur le prêt d’argent. Elle accorde aussi au consommateur le droit d’annuler le prêt dans les deux jours suivant celui où il reçoit sa copie du contrat.

  • Yves Banville (Mont-Joli)
    19 Mars 2023

    Fraude fiscale
    Il a été condamné à payer 76 000 $ pour fraude fiscale.

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    Yves Banville exploite une entreprise dans le domaine de la rénovation et de la construction résidentielle à Mont-Joli.

    L’homme de 42 ans a plaidé coupable à des accusations de fraude fiscale pour avoir perçu les taxes sur le montant de ses ventes sans les déclarer ni les remettre à Revenu Québec de 2015 à 2018.

  • Shah Allam Mohammed Molla (Montréal)
    19 Mars 2023

    Fraude fiscale
    Il a été condamné à des amendes de près de 80 000 $ pour fraude fiscale.

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    Selon l'enquête réalisée par Revenu Québec, M. Molla, résident à Montréal, a fait de fausses déclarations en soustrayant près d'un quart de million de dollars de ses revenus locatifs sur une dizaine d’immeubles dont il est copropriétaire.

    Shah Allam Mohammed Molla , 47 ans, a plaidé coupable.

  • Edwin King et 10 autres personnes
    19 Mars 2023

    Fraude fiscale
    Il écope de 12 mois de prison, ainsi que de 212 000 $ d’amendes avec neuf autres administrateurs de sociétés coquilles.

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    Le projet Flagrant de Revenu Québec visait des individus impliqués dans des stratagèmes de fraude fiscale liés à un réseau de 11 sociétés sans activités commerciales. Ces personnes ont tenté d’obtenir sans y avoir droit des remboursements de taxes après avoir produit de fausses déclarations.

    En tant que tête dirigeante du réseau, Edwin King Kwateng a rencontré de jeunes adultes par l'intermédiaire d'amis communs ou par des médias sociaux. Il les a encouragés à se lancer dans le commerce de produits de beauté, puis les a aidés à mettre en place les entreprises ainsi qu'à obtenir les numéros fiscaux et à ouvrir les comptes bancaires relatifs à celles-ci. Une fois les entreprises créées, M. Kwateng a produit la déclaration de TPS et de TVQ électroniquement pour les 11 entreprises à partir d'un bureau virtuel.

    Dix personnes ont été reconnues coupables dans le cadre de cette enquête et doivent payer 212 545,81 $ d’amendes. Edwin King, en plus, a été condamné à 12 mois de détention avec sursis. Voici les personnes, avec leur âge, leur ville de résidence et le montant des amendes :

     Edwin King, 29 ans, Roxboro, 128 270 $ d’amendes

    Abigail Laguerre, 23 ans, Montréal, 16 289,77 $ d’amendes

    Eva Gyamfi, 27 ans, Montréal, 12 685 $ d’amendes

    Pascale Jemima Peralte, 28 ans, Montréal, 11 113 $ d’amendes

    Denita-Sika Kuffour, 23 ans, Montréal, 10 068,97 $ d’amendes

    Jay Dort, 30 ans, Montréal, 9 075,37 $ d’amendes

    Sista Meliza Toussaint, 23 ans, Montréal, 9 000 $ d’amendes

    Nana Kwame Asante Adjei, 29 ans, Montréal, 6 985 $ d’amendes

    Stéphanie Sarpong, 26 ans, Montréal, 6 058,57 $ d’amendes

    Samantha-Raphca Exantus, 26 ans, Montréal, 3 000 $ d’amendes

  • Nader Gramian-Nik, Frederick Rayman
    19 Mars 2023

    Fraude fiscale Évasion fiscale
    Neuf ans de prison et 928 000 $ d’amendes pour le premier, 18 mois de prison avec sursis et 50 000 $ d’amendes pour le second.

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    Gramian-Nik avait mis sur pied un système permettant de blanchir de l’argent provenant d’activités illicites de diverses personnes. Il utilisait un système informel de transfert avec des ramifications au Liban, aux Émirats arabes unis, en Iran, aux États-Unis et en Chine. Il a volontairement omis de déclarer un revenu imposable de plus de 3,2 millions de dollars. Il a été condamné à neuf ans de prison et à 928 000 $ d’amendes.

    Frederick Rayman a plaidé coupable pour évasion fiscale. Il a fait des entrées fausses ou trompeuses dans les registres comptables de M. Gramian-Nik. Outre 18 mois de prison et 50 000 $ d’amendes avec sursis, il doit exercer 100 heures de travaux communautaires.

    Leur condamnation est le fruit du d’une opération policière conjointe de l’Agence du revenu du Canada et de la Gendarmerie royale du Canada appelée Projet Collecteur.

  • Alex Racicot-Morin
    19 Mars 2023

    Vendeur d’autos sans permis (Faux particulier)
    Il a agi dans la vente de véhicules routiers sans disposer des permis et doit payer 11 107 $ d'amendes.

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    L’Office de la protection du consommateur (OPC) lui reproche d’avoir acquis des automobiles en vue de les revendre sans détenir le permis requis par la loi et d’avoir reculé des odomètres.

    M. Alex Racicot-Morin a plaidé coupable. L’OPC lui a imposé des amendes totalisant 11 107 $.

    Toute personne qui agit comme intermédiaire ou qui fait le commerce ou le recyclage de véhicules routiers (automobiles neuves ou d’occasion, motos, motoneiges, véhicules récréatifs, etc.) doit avoir un permis délivré par l'OPC.

  • Auto Miz (Montréal)
    19 Mars 2023

    Falsification
    L’entreprise a reçu 10 000 $ d'amendes pour avoir vendu des véhicules dont l’odomètre a été modifié.

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    L’Office de la protection du consommateur (OPC) reproche à l’entreprise d’avoir offert à la vente des véhicules dont l’odomètre a été modifié. L’entreprise a plaidé coupable.

    L’OPC a annulé le permis de ce commerçant en avril 2021 et imposé des amendes de 10 000 $.

    Toute personne qui agit comme intermédiaire ou qui fait le commerce ou le recyclage de véhicules routiers (automobiles neuves ou d’occasion, motos, motoneiges, véhicules récréatifs, etc.) doit avoir un permis délivré par l'OPC.

  • Dérick Pimparé
    19 Mars 2023

    Vendeur d’autos sans permis
    Il a agi dans la vente de véhicules routiers sans disposer des permis.

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    Dérick Pimparé a acquis sans permis des automobiles en vue de les revendre, à Sainte-Sophie.

    Il a plaidé coupable. L’Office de la protection du consommateur lui impose 2 250 $ d’amendes en vertu de la Loi sur la protection du consommateur.
    Toute personne qui fait le commerce ou le recyclage de véhicules routiers doit avoir un permis émis par l’OPC.



  • Tepu Muzaffar Ahmed Mian
    19 Mars 2023

    Vendeur d’autos sans permis
    Il a agit dans la vente de véhicules routiers sans disposer des permis.

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    Tepu Muzaffar Ahmed Mian a acquis sans permis des automobiles en vue de les revendre.

    Les infractions ont été commises à Montréal, entre janvier et juillet 2021. Il a plaidé coupable.

    L’Office de la protection du consommateur lui impose 2 587 $ d’amendes en vertu de la Loi sur la protection du consommateur.

    Toute personne qui fait le commerce ou le recyclage de véhicules routiers doit avoir un permis émis par l’OPC.
     

  • Shawn Potter (Laval)
    19 Mars 2023

    Vendeur d’autos sans permis
    Il a agi dans la vente automobile sans disposer des permis.

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    Shawn Potter a acquis sans permis des automobiles en vue de les revendre. Les infractions ont été commises à Laval.

    Il a plaidé coupable. L’Office de la protection du consommateur (OPC) lui impose 1 500 $ d’amendes en vertu de la Loi sur la protection du consommateur.

    Toute personne qui fait le commerce ou le recyclage de véhicules routiers doit avoir un permis émis par l’OPC.
     

  • Luc Desmeules
    19 Mars 2023

    Inscriptions fausses ou trompeuses
    Fausse déclaration lors d’un changement d’adresse.

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    L’administrateur de JLD Automobiles a reconnu avoir entravé le travail d’un représentant de l’Office de la protection du consommateur (OPC) en fournissant une fausse déclaration lors d’un changement d’adresse. Il a plaidé coupable et écopé d’une amende de 750 $.   

    L’OPC a la responsabilité d’émettre et de gérer les permis de commerçants et de recycleurs de véhicules routiers. La loi impose aux commerçants d’automobiles des obligations spécifiques destinées à mieux protéger les consommateurs.

  • Louis Graton
    19 Mars 2023

    Conseiller en valeurs sans permis
    Il a reçu une pénalités administrative s’élevant à 60 000 $ pour avoir agi comme conseiller en valeurs sans permis.

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    Louis Graton a reconnu qu’il aurait dû être inscrit en tant que représentant de courtier auprès de l’Autorité des marchés financiers pour formuler des recommandations d’investissement.

    Dans le cadre de ses activités de consultant en restructuration et développement des affaires auprès de cinq sociétés émettrices, il a agi à six reprises auprès de quatre investisseurs pour leur transmettre des documents de souscription de titres et pour leur faire remplir des conventions de souscription ou recueillir des chèques.

    Il s'est engagé à ne pas effectuer de placement de titres d’un émetteur à titre de courtier ou de représentant de courtier ainsi que de ne pas exercer l’activité de conseiller ou de gestionnaire de fonds d’investissement au Québec sans être inscrit auprès de l’AMF.

  • Jacques Paquet
    19 Mars 2023

    Sanctions administratives (produits et services financiers)
    Il a reçu des pénalités administratives s’élevant à 52 000 $ pour avoir utilisé des sommes à des fins personnelles.

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    Jacques Paquet a reconnu s’être approprié des sommes qui appartenaient à trois sociétés clientes assurées et les avoir utilisées à des fins personnelles. Ces sommes provenaient d’un assureur et devaient être versées aux sociétés clientes à titre de remboursement de primes d’assurance et de divers autres ajustements.

    Il a reconnu les faits et n’avait aucun antécédent.

    Les sociétés lésées ont obtenu une indemnité du Fonds d’indemnisation des services financiers.

  • Mathieu Landry-Girouard, Patrick Bragoli
    19 Mars 2023

    Placements sans prospectus
    L’Autorité des marchés financiers leur a imposé respectivement 90 000 $ et 55 000 $ de pénalités administratives.

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    Mathieu Landry-Girouard a aidé deux entreprises, sociétés ROI Land et Select-TV, à procéder à des placements auprès d’au moins neuf investisseurs. Il était bien inscrit à titre de représentant de courtier pour ces deux sociétés mais ces dernières, elles, n’étaient pas inscrites auprès de l’Autorité des marchés financiers (AMF) à titre de courtier, n’avaient pas établi de prospectus soumis au visa de l’Autorité et ne bénéficiaient pas de dispenses de prospectus.

    En plus des pénalités financières, le Tribunal administratif (TMF) lui interdit pour cinq ans de bénéficier des dispenses de prospectus prévues par la Loi sur les valeurs mobilières et le Règlement 45-106 sur les dispenses de prospectus.

    Le TMF a aussi ordonné qu’il dépose une déclaration d’initié indiquant qu’il exerçait une emprise sur plus de 10 % des droits de vote rattachés aux titres de Select-TV Solutions, entre le 7 avril et le 11 août 2014.

    Patrick Bragoli a admis avoir aidé ROI Land à procéder à six placements sans prospectus en tant que président et chef de la direction de BGCT Land Development Group (devenue ROI Land). Il a également omis de déposer une déclaration d’initié indiquant qu’il était le président de ROI Land au moment des faits reprochés.

    LE TMF lui a imposé une pénalité administrative de 55 000 $ et lui interdit de mener toute activité en vue d’effectuer une opération sur valeurs, sauf pour son propre compte. Le TMF lui interdit aussi d’exercer l’activité de conseiller ou d’agir à titre de gestionnaire de fonds d’investissement pour une période de 12 mois suivant la décision.

    Enfin, il doit déposer une déclaration d’initié indiquant qu’il était le président de ROI Land Investments entre septembre 2013 et février 2014.

  • Jimmy Bastien
    19 Mars 2023

    Sanctions administratives (produits et services financiers)
    Il a écopé de 455 000 $ de pénalités et se voit interdire d'agir comme conseiller ou gestionnaire de fonds d’investissement.

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    Jimmy Bastien a reconnu s’être livré à des opérations qui constituaient une fraude auprès de huit investisseurs. Il a également reconnu avoir exercé illégalement l’activité de courtier en valeurs et avoir contribué à douze placements de valeurs mobilières sans prospectus pour des montants totalisant 640 000 $.

    Il a écopé de pénalités administratives totalisant 455 000 $, et s’est vu interdire d’exercer l’activité de conseiller ou de gestionnaire de fonds d’investissement, y compris à titre d’administrateur pour cinq ans.

    Le Tribunal a tenu compte de son haut degré de repentir et le fait qu’il n’a aucun antécédent judiciaire en matière de valeurs mobilières et d’instruments dérivés.

  • Francis Veilleux
    19 Mars 2023

    Placements sans prospectus
    Il reçoit 20 000 $ de pénalités et est interdit de pratique pour cinq ans.

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    En 2018, Francis Veilleux a aidé la société Cryptobec – Solutions en crypto-monnaie S.E.N.C. à procéder à cinq placements de contrats d’investissement auprès de quatre investisseurs, sans avoir établi un prospectus soumis au visa de l’Autorité des marchés financiers (AMF).

    Ces placements, dont les montants ont totalisé 147 669 $, ont entraîné des pertes d’au moins 9 784 $.

    Par ces contrats d’investissement, Francis Veilleux et Cryptobec proposaient aux investisseurs une solution clé en main destinée à leur permettre de tirer des bénéfices découlant d’activités de minage de cryptoactifs.

    Le Tribunal des marchés financiers (TMF) estime qu’il porte une lourde responsabilité pour les manquements commis car au moment des faits, il était inscrit auprès de l’AMF à titre de représentant de courtier en épargne collective et, pour une partie de cette période, à titre de représentant en assurance de personnes.