Navigateur Web

	Internet Explorer 9 - Logiciel propriétaire Description: la dernière version du fureteur fermé de Microsoft marque une franche amélioration par rapport à ses prédécesseurs, notamment quant à sa vitesse, à son interface et à sa compatibilité avec les standards ouverts. Compatible avec: Windows Vista, Windows Server 2008 et Windows 7. Forces: bien intégré dans Windows 7; interface minimaliste. Faiblesses: modules complémentaires peu variés; moins compatible avec le standard HTML5 que ses compétiteurs. Prix: gratuit.
	Google Chrome 11 - Logiciel propriétaire Description: le dernier navigateur à s’être lancé dans la course connaît une croissance fulgurante depuis son introduction en 2008. Google Chrome est un logiciel propriétaire, mais basé presque exclusivement sur le navigateur ouvert Chromium de Google. Le géant de la recherche conserve ainsi des parties de code privées, mais ouvre quand même la quasi-totalité de son logiciel. Compatible avec: Linux, Mac OS X et Windows. Forces: léger et performant; souvent considéré comme le navigateur le plus sécuritaire, Google Chrome est d’ailleurs le seul à ne pas avoir été piraté lors de la compétition annuelle de sécurité informatique Pwn2Own. Faiblesses: manque encore certaines extensions populaires, comme un bon client FTP; incompatible avec le populaire format vidéo H.264, à moins de télécharger le plugiciel approprié. Prix: gratuit.
	Mozilla Firefox 4 - Logiciel ouvert Description: un navigateur complètement ouvert, qui détient un peu plus de 30 % des parts de marché. Compatible avec: Linux, Mac OS X et Windows. Forces: nombreux modules complémentaires; gestion intelligente des onglets, qui peuvent par exemple être regroupés grâce à la nouvelle fonction Panorama. Faiblesse: traîne un peu derrière Google Chrome en ce qui a trait à la vitesse et à la compatibilité avec les standards Web, mais devance quand même légèrement Internet Explorer. Prix: gratuit.
	Pour la première fois, les trois principaux navigateurs Web sur le marché s’équivalent sur le plan des performances et des caractéristiques offertes. La preuve que les logiciels propriétaires ne sont pas forcément supérieurs aux logiciels ouverts (et vice versa).