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Condamnations

Ces condamnations ont été rendues publiques récemment. Certaines infractions ont été commises il y a plusieurs mois (voire même plusieurs années) puisqu’il s’écoule généralement un long moment entre l’instant où l’infraction est constatée et celui où le verdict est rendu.

282 résultat(s) correspond(ent) à votre recherche

  • Centre Profil 2000 (Sept-Îles)
    23 mars 2021

    Studio de santé («gym») sans permis
    Le commerce a exercé des activités de studio de santé sans détenir le permis requis.

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    Le président du centre de conditionnement physique Profil 2000, Daniel Guérault, devra payer une amende de 1046 $ après avoir plaidé coupable d’avoir opéré un studio de santé sans permis.

    L’infraction a été relevée en février 2018 au 25, rue Napoléon, à Sept-Îles.

    Au Québec, les propriétaires de studios de santé doivent détenir un permis de l’Office de la protection du consommateur et fournir un cautionnement de 20 000 $ pour chacun de leurs établissements, qui sert notamment à protéger les consommateurs en cas de fermeture de l’entreprise.

  • Kevin Guay Morasse (Longueuil)
    23 mars 2021

    Vendeur d’autos sans permis (Faux particulier)
    Le propriétaire a fait l’acquisition de véhicules en vue de les revendre, sans détenir le permis requis par la loi.

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    Kevin Guay Morasse a reconnu avoir fait l’acquisition de véhicules en vue de les revendre, sans détenir le permis requis par la loi. Il devra payer des amendes de 9360 $ pour ces infractions à la Loi sur la protection du consommateur.

    Les faits reprochés par l’Office de la protection du consommateur se sont produits à Longueuil, entre septembre 2018 et novembre 2019. Il s’agit d’une récidive, puisque l’individu avait été reconnu coupable d’infractions de même nature en 2018.

    Toute personne qui fait le commerce d’automobiles neuves ou d’occasion, de motos, de véhicules récréatifs, etc. doit avoir un permis. Les personnes qui sont rémunérées pour agir comme intermédiaires entre des consommateurs dans le cadre de la vente de véhicules d’occasion ont aussi besoin de ce permis.

    La loi impose aux commerçants d’automobiles des obligations spécifiques destinées à mieux protéger les consommateurs. Pour obtenir un permis, ils doivent notamment déposer un cautionnement qui peut servir à les indemniser.

  • Stéphane Dubé (Shawinigan)
    23 mars 2021

    Vendeur d’autos sans permis (Faux particulier)
    Il a agi comme un commerçant d’automobiles sans détenir le permis obligatoire.

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    Stéphane Dubé a reconnu avoir agi comme un commerçant d’automobiles, alors qu’il a fait l’acquisition de véhicules en vue de les revendre sans détenir de permis. Il devra payer des amendes totalisant 4296 $.

    Les infractions se sont déroulées à Shawinigan entre novembre 2018 et février 2019.

    Toute personne qui fait le commerce de véhicules doit avoir un permis. Il en est de même pour les personnes qui sont rémunérées pour agir comme intermédiaires entre des consommateurs dans le cadre de la vente de véhicules d’occasion.

    La Loi sur la protection du consommateur impose aux commerçants d’automobiles des obligations spécifiques destinées à mieux protéger les consommateurs. Pour obtenir un permis, ils doivent notamment déposer un cautionnement, qui peut servir à les indemniser.

     

  • Diese Onze Jazz Club (Bistro La Kemia) (Montréal), Café Vienne/Presse Café (Montréal), restaurant Hachoir (Montréal), Pizza Expresso (Montréal), restaurant Mon Nan (Montréal), Votre dépanneur Tina (Montréal), Masala Palace (Montréal) et autres
    23 mars 2021

    Présence d'insectes ou de rongeurs
    Des inspecteurs ont détecté la présence d’insectes ou de rongeurs dans ces établissements.

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    Ces commerces ont enfreint le règlement qui stipule que les lieux ou le véhicule doivent être exempts de contaminants, de polluants, de toute espèce d’animaux (y compris les insectes et les rongeurs) ou de leurs excréments.

    Diese Onze Jazz Club (Bistro La Kemia) 4115A, rue Saint-Denis Montréal, 2000 $, novembre 2018.
    Café Vienne/Presse Café 1001, rue Sherbrooke Est 100B, Montréal, 1000 $, novembre 2018.
    Restaurant Hachoir 4177, rue Saint-Denis, Montréal, 1000 $, août 2018.
    Pizza Expresso 4634, rue Wellington, Montréal, 1100 $, janvier 2019.
    Restaurant Mon Nan 43, rue de la Gauchetière Est, Montréal, 3000 $, mai 2019.
    Votre dépanneur Tina 3571, rue Sainte-Catherine Est, Montréal, 1100 $, octobre 2018.
    Restaurant TGV Istanbul 4745, rue Jean-Talon Est, Montréal, 1500 $, novembre 2018.
    Masala Palace 4961D, chemin Queen-Mary, Montréal, 1700 $, janvier 2019.
    Restaurant Chicha Donburi 1433A, rue Bishop, Montréal, 1000 $, janvier 2019.
    Double pizza 1632, boul. de Maisonneuve Ouest, Montréal, 1800 $, janvier 2019.
    Café My Way 2338, rue Jean-Talon Est, Montréal, 1100 $, octobre 2018.
    Burger King #12829 55, boul. Crémazie Ouest, Montréal, 1600 $, décembre 2018 et janvier 2019.

    Le mois inscrit représente la date à laquelle l'infraction a été commise (il s’écoule souvent un long moment entre l’instant où l’infraction est constatée et celui où le verdict est rendu). Le montant d'argent représente l'amende que le commerçant devra payer. Pour avoir plus de détails à propos de ces condamnations, consultez l'outil interactif de la Ville de Montréal ou du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec.

    À noter : lorsqu'un commerce est reconnu coupable, cela ne signifie pas que l’ensemble de l'établissement est insalubre, d’autant plus que l’entreprise peut avoir corrigé ses pratiques depuis la visite des inspecteurs.

     

  • Mirage Congrès et Événements (Montréal), Résidence de l’Île (Gatineau), restaurant Kawali (Montréal), La Maison des pâtes fraîches (Montréal), Elios Pizzeria (Saint-Alexis-des-Monts), restaurant Bellepros (Laval)
    23 mars 2021

    Alimentation – Insalubrité
    Ces six commerçants ont reçu des amendes pour divers manquements liés à la salubrité des lieux.

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    Des amendes de 2300 $ ont été imposées au Mirage Congrès et Événements du boulevard Langelier, à Montréal. Le commerçant a été reconnu coupable d’avoir exploité un établissement où l’aménagement des installations et l’exécution des opérations de préparation des produits pouvaient affecter la salubrité des lieux.

    Le commerçant devra payer des amendes additionnelles de 2900 $ pour ne pas avoir maintenu ses locaux et son matériel propres. Les infractions ont été constatées en novembre 2018 et en janvier 2019.

    La Résidence de l’Île, située au 223, rue Saint-Rédempteur, à Gatineau, a été condamnée pour avoir détenu un aliment impropre à la consommation. La faute, qui a été relevée au mois de novembre 2019, lui a valu une amende de 2000 $.

    Le restaurant Kawali, situé sur l’avenue Van Horne à Montréal, a été condamné à une amende de 1900 $ pour avoir gardé un produit altérable à la chaleur à la mauvaise température. L’infraction remonte à décembre 2018.

    La Maison des pâtes fraîches, de la rue Rachel Est à Montréal, s’est vue blâmée pour la même faute en janvier 2019. Elle devra payer une amende de 1200 $.

    Elios Pizzeria, un restaurant de Saint-Alexis-des-Monts, a reçu une amende de 2000 $ pour une infraction remontant à septembre 2019. Les inspecteurs ont constaté lors de leur visite que l’aménagement des installations et l’exécution des opérations de préparation ou de transformation des produits pouvaient en affecter la salubrité.

    Enfin, le restaurant Bellepros, situé au 5600, boul. Robert Bourassa, à Laval, devra payer une amende de 1000 $ pour ne pas s’être assuré que les personnes dans l’aire de manipulation ou de préparation des produits respectent les règles d’hygiène et de salubrité établies. L’infraction a été constaté en juillet 2019.

    À noter : il s’écoule souvent un long moment entre l’instant où l’infraction est constatée et celui où le verdict est rendu. Pour avoir plus de détails à propos de ces condamnations, consultez l'outil interactif de la Ville de Montréal ou du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec.

    Lorsqu'un commerce est reconnu coupable, cela ne signifie pas que l’ensemble de l'établissement est insalubre, d’autant plus que l’entreprise peut avoir corrigé ses pratiques depuis la visite des inspecteurs.

     

  • Restaurant Le Villageois (Saint-Narcisse), Pizzeria Hochelaga (Montréal), restaurant Pho Mont-Royal (Montréal), restaurant Delibee’s (Pointe-Claire), restaurant Thaïlandaise (Montréal) et autres
    23 mars 2021

    Alimentation - malpropreté
    Ces commerces n’ont pas maintenu leurs locaux et leur matériel propres.

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    Restaurant Le Villageois 828, rue Notre-Dame, Saint-Narcisse, 2000 $, octobre 2019.
    Pizzeria Hochelaga 4743, rue Hochelaga, Montréal, 1100 $, janvier 2019.
    Restaurant Pho Mont-Royal 1235, avenue du Mont-Royal Est Montréal, 2000 $, décembre 2018.
    Restaurant Delibee’s 24, avenue de la Baie-de-Valois, Pointe-Claire, 1800 $, février 2019.
    Thaï Express 710, Montée Paiement, Gatineau, 1000 $, décembre 2019.
    Aux Cinq parfums 9732, rue Birnam Montréal, 1000 $, mai 2018.
    Kanda DDO 3237, boul. des Sources 34C, Dollard-des-Ormeaux, 1000 $, janvier 2019.

    Les inspecteurs ont aussi constaté dans les deux établissements suivants la présence de contaminants, de polluants, d’animaux (y compris les insectes et les rongeurs) ou de leurs excréments.

    Restaurant Thaïlandaise 4514, rue Saint-Denis, Montréal, 6700 $, juin et août 2018.
    Marché Botinda 4054, rue Sainte-Catherine Est, Montréal, 3500 $, novembre 2018.

    Le mois inscrit représente la date à laquelle l'infraction a été commise (il s’écoule souvent un long moment entre l’instant où l’infraction est constatée et celui où le verdict est rendu). Le montant d'argent représente l'amende que le commerçant devra payer. Pour avoir plus de détails à propos de ces condamnations, consultez l'outil interactif de la Ville de Montréal ou du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec.

    Lorsqu'un commerce est reconnu coupable, cela ne signifie pas que l’ensemble de l'établissement est insalubre, d’autant plus que l’entreprise peut avoir corrigé ses pratiques depuis la visite des inspecteurs.

  • Virgule Apéritif Café (Sherbrooke), La Demande générale (Montréal), Dépanneur Gibeau, filles et fils (Plaisance)
    23 mars 2021

    Exploitation d'un commerce sans permis
    Ces trois entreprises ont exercé des activités de restauration sans être titulaires d’un permis valide.

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    Le restaurant Virgule Apéritif Café, situé au 5400, rue Président-Kennedy, à Sherbrooke, devra payer une amende de 2000 $ pour une infraction relevée en octobre 2019.

    Le restaurant La Demande générale, dont les locaux sont situés au 3443, rue Saint-Denis, à Montréal, devra, lui aussi, acquitter une amende de 2000 $ pour une infraction commise en janvier 2019.

    Enfin, le Dépanneur Gibeau, filles et fils, du 228, rue Principale, à Plaisance, devra débourser 2000 $ pour avoir préparé des aliments en vue de la vente au détail. L’infraction remonte à mai 2019.

    Il s’écoule souvent un long moment entre l’instant où l’infraction est constatée et celui où le verdict est rendu. Pour avoir plus de détails à propos de ces condamnations, consultez l'outil interactif de la Ville de Montréal ou du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec.

  • Recyclage Bozo (Saint-Marcel)
    24 février 2021

    Vendeur et recycleur d'autos sans permis
    L’entreprise a agi comme commerçant et recycleur de véhicules sans détenir le permis requis par la loi.

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    Fanny Nadeau-Pelletier, faisant affaire sous le nom de Recyclage Bozo, a été reconnue coupable d’avoir agi comme commerçant et recycleur de véhicules sans détenir le permis requis par la loi. L’entreprise devra payer des amendes de 6362 $ pour avoir fait l’acquisition de véhicules en vue de les revendre et d’avoir vendu des carcasses d’automobiles sans y être autorisé.

    Les enquêteurs de l’Office de la protection du consommateur ont relevé ces infractions à Saint-Marcel, entre mai 2018 et mars 2019. 

    Toute personne qui fait le commerce ou le recyclage de véhicules (automobiles neuves ou d’occasion, motos, motoneiges, véhicules récréatifs, etc.) doit détenir un permis. La loi exige que ces commerçants déposent un cautionnement qui peut servir à indemniser les consommateurs en cas de problème.

  • Réparation Sphaltech (Québec)
    24 février 2021

    Commerçant itinérant sans permis
    Le commerçant a fait de la vente itinérante sans détenir le permis obligatoire. Il a depuis régularisé sa situation.

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    L’entreprise Réparation Sphaltech, spécialisée dans l’entretien et la réparation d’asphalte, et son président, Mathieu Dubuc, ont reconnu avoir fait du commerce itinérant détenir de permis. Ils devront payer des amendes respectives de 3000 $ et 1046 $ pour des infractions commises à Sainte-Claire en septembre 2019.

    Le commerçant, dont les locaux sont situés au 3235-A chemin de la Gare à Québec, a depuis régularisé sa situation en obtenant son permis.

    Un commerçant itinérant est une personne ou une entreprise qui, ailleurs qu’à son établissement, conclut (ou tente de conclure) un contrat avec un consommateur, indique l’Office de la protection du consommateur (OPC).

    Ce type de commerçant est soumis à des règles particulières. Parmi ses obligations, il doit détenir un permis et verser un cautionnement en cas de non-exécution du contrat, de faillite ou de fermeture de l’entreprise. Il doit de plus remplir un contrat et en remettre une copie dûment signée au consommateur. On doit notamment y trouver le droit accordé au client d’annuler l’entente dans les 10 jours suivant celui où chacune des parties est en possession d’un double du contrat.

  • Remorquage Recyclage Joël Laflamme
    24 février 2021

    Recycleur d'autos sans permis
    L’entreprise a vendu des carcasses de véhicules au rancart, sans détenir le permis requis par la loi. Elle a depuis régularisé sa situation.

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    Joël Laflamme, faisant affaire sous le nom de Remorquage Joël Laflamme, a plaidé coupable à des accusations d’avoir vendu des carcasses de véhicules au rancart, sans détenir le permis requis par la loi, ce qui fait qu’il a agi comme recycleur de véhicules. L’entreprise devra payer une amende de 1046 $ pour cette infraction commise en juillet 2019.

    L’entreprise, dont l’établissement est situé au 4265, rue Principale, à Notre-Dame-Auxiliatrice-de-Buckland, a depuis régularisé sa situation en obtenant son permis de recycleur de véhicules.

    Toute personne qui fait le commerce ou le recyclage de véhicules doit avoir un permis, selon la Loi sur la protection du consommateur. Celui-ci requiert notamment le dépôt d’un cautionnement pouvant indemniser les consommateurs en cas de problème.

     

  • Sabil Leguachmi
    24 février 2021

    Vendeur d’autos sans permis
    Il a notamment fait l’acquisition de véhicules en vue de les revendre, sans détenir le permis requis par la loi.

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    Sabil Leguachmi a écopé d’amendes totalisant 10 088 $ pour avoir fait l’acquisition de véhicules en vue de les revendre, sans détenir le permis requis par la loi, et d’avoir menti sur le degré d’utilisation d’un véhicule. Le commerçant a faussement prétendu qu’un véhicule, dont l’odomètre avait été reculé, avait été moins utilisé qu’en réalité.

    Les infractions, commises à Longueuil, remontent entre juin 2018 et janvier 2019.

    Toute personne qui fait le commerce de véhicules doit avoir un permis. Il en est de même pour les personnes qui sont rémunérées pour agir comme intermédiaires entre des consommateurs dans le cadre de la vente de véhicules d’occasion.

    La Loi sur la protection du consommateur impose aux commerçants d’automobiles des obligations spécifiques destinées à mieux protéger les consommateurs. Pour obtenir un permis, ils doivent notamment déposer un cautionnement, qui peut servir à indemniser les consommateurs.

  • Climat confort (Saint-Michel)
    24 février 2021

    Commerçant itinérant sans permis
    Le commerçant a utilisé un prétexte pour solliciter la conclusion de contrats d’entretien d’une thermopompe.

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    L’entreprise Climat confort a été déclarée coupable d’avoir fait du commerce itinérant sans détenir le permis requis. On lui reprochait également d’avoir utilisé un prétexte pour solliciter la conclusion de contrats d’entretien d’une thermopompe, soit l’inspection du système dans le cadre de la garantie. L’entreprise devra payer des amendes totalisant 7124 $.

    Les infractions relevées ont été commises en décembre 2017 à Waterloo. Les locaux de l’entreprise étaient alors situés au 1678, rue Robert, à Saint-Michel.

    L’Office de la protection du consommateur signale que des commerçants itinérants continuent de solliciter des consommateurs dans le domaine de l’énergie (thermopompes, panneaux solaires, isolation) en utilisant des prétextes pour obtenir un rendez-vous et en faisant des promesses d’économie souvent trop belles pour être vraies.

    Si la vente de tels appareils ou d’un service d’entretien est effectuée au domicile du consommateur, sans que celui-ci ait demandé expressément au commerçant de se présenter chez lui, il dispose d’un délai de 10 jours pour annuler le contrat. Ce droit peut s’exercer même si le commerçant a déjà procédé aux travaux ou à l’installation de l’appareil.

    Avant de signer ce type de contrat, l’Office recommande aux consommateurs de prendre le temps de réfléchir, de vérifier et de comparer les offres.

  • Chomedey Hyundai (Laval)
    24 février 2021

    Exiger un prix supérieur au prix annoncé
    Le commerçant a exigé un prix supérieur à celui annoncé sur son site web pour des véhicules d’occasion.

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    L’entreprise Chomedey Hyundai a admis avoir exigé un prix supérieur à celui annoncé sur son site web pour des automobiles d’occasion en mars et décembre 2018. Le commerçant lavallois ajoutait divers montants au prix annoncé, dont des frais d’administration, d’inspection et d’esthétique. Les amendes totalisent 9000 $.

    Au Québec, les commerçants ne peuvent exiger un prix supérieur à celui qui est annoncé. Ils sont tenus d’afficher un prix « tout inclus », qui comprend tous les frais, sauf les taxes.

    L’établissement est situé au 2480, boul. Curé-Labelle, à Laval.

  • Micro-prêt (Montréal)
    23 février 2021

    Contrat non conforme
    L’entreprise et son président ont consenti des prêts d’argent en utilisant un contrat non conforme, exigeant ainsi des taux de crédit plus élevés que la normale.

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    L’entreprise Micro-prêt (7691084 Canada) et son président, Stuart Schick, ont été déclarés coupables des accusations portées par l’Office de la protection du consommateur (OPC).

    Ils devront payer des amendes respectives de 8060 $ et 5560 $. L’OPC a par ailleurs annulé leur permis de prêteur d’argent en septembre 2020.

    Entre octobre et décembre 2018, l’entreprise et son président ont accordé des prêts d’argent sans utiliser un contrat conforme. Le capital net indiqué sur les contrats ne représentait pas le montant remis au consommateur. Des frais administratifs étaient, en effet, ajoutés, ce qui aurait dû être considéré comme une composante des frais de crédit. L’enquête a démontré que les taux de crédits réels calculés variaient entre 93 % et 117 %, alors que le contrat indiquait 55 %. Pour l’OPC, un taux de crédit supérieur à 35 % est abusif.

    L’établissement est situé au 5200, rue Paré, à Montréal.

    La loi impose aux prêteurs d’argent d’avoir un permis de l’OPC afin de protéger les consommateurs. Elle comporte des exigences spécifiques quant au contenu du contrat, dont l’obligation d’y indiquer le taux de crédit, en précisant tous les éléments qui doivent être inclus dans le calcul. De plus, la loi accorde au consommateur le droit d’annuler le prêt dans les deux jours suivant celui où il reçoit sa copie du contrat.

  • Automobile Joseph (Lévis)
    23 février 2021

    Vendeur d’autos sans permis
    L’homme a fait l’acquisition de véhicules en vue de les revendre, sans détenir le permis requis par la loi.

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    Réal Joseph Quinn, faisant affaires sous le nom d’Automobile Joseph, a reconnu sa culpabilité aux accusations de l’Office de la protection du consommateur (OPC) d’avoir fait l’acquisition de véhicules en vue de les revendre, sans détenir le permis requis par la loi.

    Les infractions commises à Lévis, entre mars et juin 2019, lui valent des amendes totalisant 2546 $.

    La loi impose aux commerçants d’automobiles des obligations spécifiques destinées à mieux protéger les consommateurs. Pour obtenir un permis, ils doivent notamment déposer un cautionnement, qui peut servir à les indemniser.

  • Philippe Gervais (Sorel-Tracy / Salaberry-de-Valleyfield)
    23 février 2021

    Exploitation d'un commerce sans permis
    Philippe Gervais a reconnu avoir exercé des activités d’agent de voyages sans détenir le permis requis par la loi. Il devra payer des amendes totalisant 4046 $.

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    L’homme a admis avoir organisé des voyages comprenant l’hébergement et une croisière dans l’océan Indien, en plus d’offrir sur Facebook des places pour une croisière à Dubaï. Il a plaidé coupable aux accusations portées par l’Office de la protection du consommateur (OPC) en vertu de la Loi sur les agents de voyages.

    Les infractions se sont produites entre mai et décembre 2018 à Sorel-Tracy et à Salaberry-de-Valleyfield.

    Au Québec, les agents de voyages doivent détenir un permis de l’OPC et fournir un cautionnement. Ce cautionnement, ainsi que le Fonds d’indemnisation des clients des agents de voyages (FICAV), servent à protéger les voyageurs en cas de problème.

  • Garantie Chauffage (Brossard)
    23 février 2021

    Thermopompes - Représentations trompeuses (commerce itinérant)
    L’entreprise et son président ont été reconnus coupables d’avoir utilisé un faux prétexte pour solliciter des contrats d’entretien.

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    Le président de l’entreprise Garantie Chauffage, Steve Chevalier, faisait croire qu’il était mandaté par le fabricant de thermopompes ou l’entreprise qui l’avait vendu pour faire l’inspection du système dans le cadre de la garantie. Les faits reprochés se sont déroulés en janvier 2017 à Brossard, Laval, Disraeli et Saint-Zotique.

    L’entreprise a écopé d’amendes totalisant 33 544 $, alors que son président devra payer 7482 $.

    Au moment des infractions, l’établissement était situé au 6185, boul. Taschereau, bureau 118, à Brossard.

    Si la vente de tels appareils ou d’un service d’entretien est effectuée au domicile du consommateur sans que celui-ci ait demandé expressément au commerçant de se présenter chez lui, il dispose d’un délai de 10 jours pour annuler le contrat. Ce droit peut s’exercer même si le commerçant a déjà procédé aux travaux ou à l’installation de l’appareil.

    Avant de signer ce type de contrat, l’Office recommande aux consommateurs de prendre le temps de réfléchir, de vérifier et de comparer les offres.

  • Rémy Corbeil (Val-Joli)
    23 février 2021

    Vendeur d’autos sans permis (Faux particulier)
    Il a agi comme un commerçant d’automobiles sans détenir le permis obligatoire.

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    Rémy Corbeil a reconnu avoir agi comme un commerçant d’automobiles, alors qu’il a fait l’acquisition de véhicules en vue de les revendre sans détenir le permis requis par la loi. Il devra payer des amendes totalisant 4184 $.

    Toute personne qui fait le commerce d’automobiles doit avoir un permis, y compris les personnes qui sont rémunérées pour agir comme intermédiaires entre des consommateurs dans le cadre de la vente de véhicules d’occasion.

    La loi impose aux commerçants d’automobiles des obligations spécifiques destinées à mieux protéger les consommateurs. Pour obtenir un permis, ils doivent notamment déposer un cautionnement, qui peut servir à indemniser les consommateurs.

    Les faits se sont déroulés entre février et mars 2019 à Val-Joli

  • Donald Peter Bezeau (Québec)
    23 février 2021

    Entrave au travail d’une enquête
    L’homme a refusé de fournir à l’enquêteuse de l’Office de la protection du consommateur (OPC) des renseignements et des documents.

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    Donald Peter Bezeau a été reconnu coupable d’avoir entravé le travail d’une enquêteuse de l’OPC en refusant de lui fournir des renseignements et de lui remettre des documents qu’elle était en droit d’obtenir. Les faits reprochés se sont déroulés en avril 2019, à Québec.

    M. Bezeau devra acquitter une amende de 1145 $.

    Toute entreprise ou individu ne peut entraver le travail d’un représentant de l’Office. Il est également interdit de le tromper par omission ou fausse déclaration ou de refuser de lui fournir un renseignement ou un document qu’il est en droit d’obtenir. Les amendes prévues dans ce cas varient de 600 $ à 15 000 $ dans le cas d’un individu, et de 2000 à 100 000 $ pour une personne morale.

  • Peter Sanschagrin (Saint-Marcel)
    23 février 2021

    Vendeur d’autos sans permis (Faux particulier)
    L’homme a fait l’acquisition de véhicules en vue de les revendre, sans détenir le permis requis par la loi.

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    Peter Sanschagrin a été reconnu coupable d’avoir fait l’acquisition de véhicules en vue de les revendre, sans détenir le permis requis par la loi. Il devra payer des amendes de 13 562 $ pour ces infractions à la Loi sur la protection du consommateur.

    Les faits reprochés par l’Office de la protection du consommateur se sont déroulés à Saint-Marcel, entre juin et décembre 2018.

    La loi impose aux commerçants d’automobiles des obligations spécifiques destinées à mieux protéger les consommateurs. Pour obtenir un permis, ils doivent notamment déposer un cautionnement qui peut servir à les indemniser.