Depuis le début de l’automne, des fermes des régions de Lanaudière, de l’Estrie et de Charlevoix ont dû abattre des volailles infectées par la grippe aviaire pour éviter la propagation du virus. Doit-on craindre une infection chez l’humain ?
Ces signalements placent le Québec au troisième rang des provinces les plus affectées par la grippe aviaire H5N1 en 2025, derrière la Colombie-Britannique et l’Alberta. Il est courant de voir des éclosions à l’automne, puisque le virus est transporté par les oiseaux migrateurs. Les autorités sanitaires n’y voient pas de source d’inquiétude, mais surveillent de près l’évolution du virus
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