Comment laver une couverture chauffante

Lavez votre couverture chauffante avant la première utilisation.

Si elle est lavable à la machine, choisissez toujours un cycle court pour vêtements délicats, et si possible un cycle d’essorage court. Évitez les cycles complets, trop longs. Référez-vous toujours aux conseils d’entretien du fabricant.

Pensez à la faire tremper environ 15 minutes avant chaque lavage. Si la marque ne spécifie pas à quelle température, optez pour un trempage à l’eau froide.

Utilisez une très petite quantité de détergent.

Si vous lavez votre couverture à la main (notamment si le câble d’alimentation n’est pas amovible), remuez le moins possible les composants internes (dont les fils électriques) – laissez tremper, bougez légèrement la couverture pendant deux ou trois minutes avec un peu de savon, rincez et essorez très doucement.

Si le fabricant vous y invite, vous pouvez sécher votre couverture à la sécheuse pendant un maximum de 10 minutes, à basse température. Certains modèles nécessitent un préchauffage de la sécheuse pendant deux ou trois minutes avant d’y mettre la couverture. Elle doit être encore humide lorsque vous l’en retirez. Faites-la sécher à l’air libre.

Gestes à éviter

Évitez de mouiller le cordon d’alimentation. Veillez toujours à bien débrancher la couverture avant tout lavage. Si le câble d’alimentation n’est pas amovible, ne mettez pas la couverture dans la laveuse : lavez-la à la main en veillant à ne jamais mouiller le câble électrique.

Ne branchez pas la couverture si le câble chauffant à l’intérieur de la couverture paraît usé ou si la connexion est endommagée. Il faut cesser de l’utiliser sous peine d’électrocution ou de brûlure.

N’utilisez pas d’eau de Javel, d’ammoniaque ou d’agent blanchissant lors du lavage de votre couverture à la machine sous peine de l’endommager.

Ne repassez pas la couverture et ne la lavez pas à sec : vous risqueriez de l’abîmer.

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Cet article est tiré du guide « 100 Trucs pour faire durer vos appareils domestiques », réalisé en partenariat avec RECYC-QUÉBEC et l’expertise de l’Observatoire de la consommation responsable de l’École des sciences de la gestion de l’UQAM.