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Santé mentale

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    Déneigement : que faire si la facture est plus lourde que prévu ?
    21 mars 2023

    Votre déneigeur vous réclame plus d’argent que prévu, car il est tombé plus de neige cet hiver ? Vous n’êtes pas obligé d’« avaler la couleuvre » sans broncher.

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    Que risquez-vous à louer votre résidence principale à court terme ?
    21 mars 2023

    Vous voulez gagner un revenu supplémentaire en louant votre maison ou votre condo ? À compter du 25 mars, la loi vous permet de le faire au Québec. Toutefois, il pourrait y avoir des risques, et certains engagent votre responsabilité.

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    L’OACIQ avec vous aussi après la transaction
    21 mars 2023

    Vous avez effectué une transaction immobilière par l’intermédiaire d’un courtier immobilier et vous désirez porter plainte ou dénoncer une possible infraction? Voici comment.

  • Gestion Multi-Finance (Saint-Alphonse-de-Granby)
    20 mars 2023

    Contrats de prêt non conformes
    L’entreprise a inclus dans des contrats de prêts d’argent à coûts élevés des pénalités non conformes à la Loi sur la protection du consommateur.

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    L’entreprise a consenti un prêt d’argent à un consommateur sans utiliser un contrat conforme. Elle a plaidé coupable à une accusation portée en vertu de la Loi sur la protection du consommateur (LPC) et payé une amende 1 657 $.

    Alors que le contrat indiquait un taux de crédit de 18,83 %, le taux de crédit réel calculé conformément au règlement était de 382 %. L’Office considère qu’un taux de crédit supérieur à 35 % est abusif.

    La LPC impose aux prêteurs d’argent d’être titulaires d’un permis de l’OPC. La loi comporte des exigences spécifiques pour le contenu du contrat, dont l’obligation d’indiquer le taux de crédit, en précisant tous les éléments qui doivent être inclus dans le calcul de ce taux. La LPC accorde aussi au consommateur le droit d’annuler le prêt dans les deux jours suivant celui où il reçoit sa copie du contrat.

  • Marie-Ève Rosa, Gestion PPA
    20 mars 2023

    Contrats de prêt non conformes
    L’entreprise a inclus dans des contrats de prêts d’argent à coûts élevés des pénalités non conformes à la Loi sur la protection du consommateur.

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    En août 2018, l’entreprise Gestion PPA, dont Mme Marie-Ève Rosa était administratrice au moment des faits, a consenti des prêts d’argent à des consommateurs ayant fait des demandes sur le site web pretpouraider.com, sans utiliser un contrat conforme. Le capital net indiqué dans les contrats ne représentait pas les montants remis aux consommateurs. Des frais d’adhésion étaient ajoutés, alors qu’ils auraient dû être considérés comme une composante des frais de crédit. Ainsi, alors que les contrats indiquaient un taux de crédit de 20 %, le taux de crédit réel calculé conformément au règlement se situait entre 129 % et 218 %. L’Office considère qu’un taux de crédit supérieur à 35 % est abusif.

    Gestion PPA et son administratrice ont plaidé coupables à une accusation portée en vertu de la Loi sur la protection du consommateur (LPC). La compagnie a écopé d’une amende de 1587 $ et son administratrice de 1087 $.

    L’OPC rappelle qu’au Québec, la LPC impose aux prêteurs d’argent d’être titulaires d’un permis de l’OPC. La loi comporte des exigences spécifiques pour le contenu du contrat, dont l’obligation d’indiquer le taux de crédit, en précisant tous les éléments qui doivent être inclus dans le calcul de ce taux. La LPC encadre également la publicité sur le prêt d’argent. Elle accorde aussi au consommateur le droit d’annuler le prêt dans les deux jours qui suivent celui où il reçoit sa copie du contrat.

    La loi introduit également la notion de crédit à coût élevé dès que le taux de crédit dépasse de plus de 22 points de pourcentage le taux officiel d’escompte de la Banque du Canada. Les commerçants qui offrent du crédit au-delà de ce seuil doivent être titulaires d’un permis spécifique, en plus d’un permis de prêteur d’argent.

  • Prêt sans Enquête, Michel Nadeau (Bromont)
    20 mars 2023

    Contrats de prêt non conformes
    L’entreprise a plaidé coupable pour avoir inclus dans des contrats de prêts d’argent à coûts élevés des pénalités non conformes à la Loi sur la protection du consommateur.

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    L’entreprise de Bromont Prêt sans Enquête, dont Michel Nadeau était président au moment des faits, a consenti des prêts d’argent à des consommateurs ayant fait des demandes sur le site web pretsansenquete.ca, sans utiliser un contrat conforme et sans divulguer le taux de crédit conformément à la loi.

    Ainsi, alors que le contrat indiquait un taux de crédit de 23 %, les taux de crédit réels calculés conformément au règlement variaient entre 117 % et 430 %. L’Office considère qu’un taux de crédit supérieur à 35 % est abusif.

    Prêt sans Enquête et son président Michel Nadeau ont plaidé coupables et écopé d’une amende de 13 845 $ pour l’entreprise et de 1 050 $ pour Michel Nadeau.

    L’OPC rappelle qu’au Québec, la LPC impose aux prêteurs d’argent d’être titulaires d’un permis de l’OPC. La loi comporte des exigences spécifiques pour le contenu du contrat, dont l’obligation d’indiquer le taux de crédit, en précisant tous les éléments qui doivent être inclus dans le calcul de ce taux. La LPC encadre également la publicité sur le prêt d’argent. Elle accorde aussi au consommateur le droit d’annuler le prêt dans les deux jours suivant celui où il reçoit sa copie du contrat.

  • Rénotrust (Blainville)
    20 mars 2023

    Représentations trompeuses et contrats non conformes (commerce itinérant)
    L’entreprise a utilisé un prétexte pour vendre des thermopompes.

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    L’entreprise Rénotrust a indiqué à des clients potentiels qu’ils pouvaient bénéficier de conseils pour réduire leur facture d’électricité, alors qu’il s’agissait d’un prétexte pour leur vendre une thermopompe.

    Le représentant de l’entreprise a aussi fait des représentations trompeuses à une consommatrice, en prétendant que son système de climatisation allait bientôt être interdit. Il a aussi omis de restituer dans le délai prescrit les sommes versées par une consommatrice, après que cette dernière eut résilié le contrat.

    Rénotrust a écopé d’amendes totalisant 10 737 $ pour des infractions à Lac-Mégantic et à Longueuil.

    Au moment des infractions, l’établissement était situé au 905, boulevard Michèle-Bohec, bureau 105, à Blainville.

    Rappelons que les consommateurs qui signent un contrat avec un commerçant itinérant disposent d’un délai de 10 jours pour l’annuler. Celui-ci peut être porté à un an si le commerçant a négligé certaines de ses obligations. De plus, le droit d’annulation peut s’exercer même si le commerçant a déjà procédé aux travaux ou à l’installation de l’appareil.

  • Ronald Riodin, C R Auto
    20 mars 2023

    Vendeur et recycleur d'autos sans permis
    L’Office de la protection du consommateur annule le permis de commerçant de véhicules routiers de C R Auto.

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    L’office de la protection du consommateur (OPC) a pris en considération les plaintes de consommateurs reçues à l’encontre de C R Auto de Montréal, au sujet du recul de l’odomètre de véhicules. Ces plaintes concernent 26 transactions où le kilométrage indiqué à l’odomètre était incohérent avec l’historique du véhicule.

    En janvier 2023, l’OPC a jugé que l’entreprise ne peut assurer, dans l’intérêt public, l’exercice honnête et compétent de ses activités commerciales.

    L’entreprise avait aussi tenté de dissimuler l’implication dans l’entreprise de M. Ronald Riodin, président de Groupe Riodin, dont le permis avait déjà été révoqué pour des motifs semblables.

    La loi impose aux commerçants d’automobiles des obligations spécifiques destinées à mieux protéger les consommateurs

  • Alex Racicot-Morin
    19 mars 2023

    Vendeur d’autos sans permis (Faux particulier)
    Il a agi dans la vente de véhicules routiers sans disposer des permis et doit payer 11 107 $ d'amendes.

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    L’Office de la protection du consommateur (OPC) lui reproche d’avoir acquis des automobiles en vue de les revendre sans détenir le permis requis par la loi et d’avoir reculé des odomètres.

    M. Alex Racicot-Morin a plaidé coupable. L’OPC lui a imposé des amendes totalisant 11 107 $.

    Toute personne qui agit comme intermédiaire ou qui fait le commerce ou le recyclage de véhicules routiers (automobiles neuves ou d’occasion, motos, motoneiges, véhicules récréatifs, etc.) doit avoir un permis délivré par l'OPC.

  • Auto Miz (Montréal)
    19 mars 2023

    Falsification
    L’entreprise a reçu 10 000 $ d'amendes pour avoir vendu des véhicules dont l’odomètre a été modifié.

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    L’Office de la protection du consommateur (OPC) reproche à l’entreprise d’avoir offert à la vente des véhicules dont l’odomètre a été modifié. L’entreprise a plaidé coupable.

    L’OPC a annulé le permis de ce commerçant en avril 2021 et imposé des amendes de 10 000 $.

    Toute personne qui agit comme intermédiaire ou qui fait le commerce ou le recyclage de véhicules routiers (automobiles neuves ou d’occasion, motos, motoneiges, véhicules récréatifs, etc.) doit avoir un permis délivré par l'OPC.