Avant, mon environnement informatique était très simple : deux ordinateurs Mac (l’un au travail, l’autre à la maison), et deux appareils mobiles iOS (un iPhone et un iPad). Je vivais dans le douillet environnement d’Apple, sans en faire une religion.
À l’automne 2017, je suis passé d’un Mac à un ordinateur Windows au bureau. Puis, en janvier dernier, j’ai troqué mon iPhone pour un téléphone Android. Après quelques casse-têtes et une certaine période d’adaptation, je passe aujourd’hui d’un système à l’autre sans trop m’en rendre compte.
Il faut dire que la transition avait naturellement commencé au fil des années précédentes. Google offrant d’excellents services en ligne et de bonnes applications tant sur iOS que sur Android, j’y ai progressivement transféré mes courriels, mes contacts, mes calendriers, mes signets, ma musique et mes photos. Ainsi, j’ai accès à l’essentiel de ma vie numérique, peu importe quel appareil se trouve devant moi.
Pour accéder rapidement de partout à mes fichiers, je pourrais employer Google Drive, mais je préfère Dropbox, que je trouve plus simple et mieux intégré aux différentes plateformes.
Étant un gros utilisateur de listes (choses à faire au travail et à la maison, épicerie, etc.), j’ai installé l’application Wunderlist sur tous mes appareils. Ainsi, dès que j’ai une nouvelle tâche à réaliser ou un produit à acheter, je le note.
Pour communiquer rapidement avec mes proches, j’utilise Facebook Messenger, qui a de bonnes applications sur Android, iOS et Windows. Comme Facebook ne propose pas de version bureau pour les Mac, j’emploie Goofy, une application gratuite développée en code source ouvert.
Étant un avide lecteur, je sauvegarde des articles avec Pocket, qui est disponible sur Android et iOS ainsi que sur les navigateurs web. Puis, quand j’ai un peu de temps, je peux les lire sur mon téléphone ou sur mon iPad. Pour consulter mes fils RSS, j’utilise Feedly sur tous mes appareils, sauf sur mon iPad où je préfère l’application Reeder.
Il reste bien quelques désagréments mineurs quand on passe constamment d’un système à l’autre : les raccourcis clavier ne sont pas les mêmes sur les Mac et les ordinateurs Windows; les barres de menus et de notifications ne sont pas au même endroit, etc. Mais on s’y fait… et il semblerait c'est bon pour le cerveau de changer ses habitudes!