Comment nettoyer votre four à micro-ondes

La première chose à faire est de lire le mode d’emploi de votre appareil afin de répertorier notamment tout ce qui ne devrait pas passer au micro-ondes.

Utilisez une cloche pour recouvrir vos plats afin d’éviter les salissures (sauf en mode gril), mais ne réchauffez pas vos aliments dans des contenants fermés sous peine d’explosion.

Nettoyez régulièrement votre micro-ondes, pour des raisons de salubrité, bien sûr, mais aussi pour éviter que les restes et graisses alimentaires détériorent des éléments et provoquent des étincelles. Avant le nettoyage, mettez à bouillir un bol d’eau quelques minutes : l’humidité à l’intérieur de l’appareil vous facilitera le travail. Comme pour le réfrigérateur, utilisez un chiffon doux, de l’eau chaude et quelques gouttes de savon à vaisselle ou de vinaigre blanc dilué de moitié. Lavez les éléments amovibles, comme le plateau tournant, à la main. Évitez tout objet contondant ou abrasif pour ne pas abîmer les parois.

L’étanchéité de votre appareil est primordiale. Faites un test en plaçant un bout de feuille aluminium près de la porte à l’extérieur : si l’appareil projette des étincelles, aussi petites soient-elles, c’est qu’une fuite a lieu. Contactez un réparateur.

Gestes à éviter

Il ne faut jamais mettre d’aluminium dans votre four – ni contenants, ni couverts, ni papier d’aluminium. Cela provoquerait des étincelles et pourrait endommager l’appareil.

Le saviez-vous?

Selon une étude de Nature Food de 2020, jusqu’à 60 % de l’impact climatique des aliments peut provenir de la cuisson, notamment lorsqu’ils sont cuits au four! Dans le cas des légumes, l’option du micro-ondes ou de l’autocuiseur peut être moins énergivore et émettre moins de carbone.

Bon à savoir

Quand vous installez votre four à micro-ondes, pensez à ne pas le coller contre un mur ou un meuble afin de laisser l’air circuler.

À lire aussi : Notre test de micro-ondes​​​​​​

Cet article est tiré du guide « 100 Trucs pour faire durer vos appareils domestiques », réalisé en partenariat avec RECYC-QUÉBEC et l’expertise de l’Observatoire de la consommation responsable de l’École des sciences de la gestion de l’UQAM.