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Condamnations

Ces condamnations ont été rendues publiques récemment. Certaines infractions ont été commises il y a plusieurs mois (voire même plusieurs années) puisqu’il s’écoule généralement un long moment entre l’instant où l’infraction est constatée et celui où le verdict est rendu.

31 résultat(s) correspond(ent) à votre recherche

  • Entretien Logistek (Longueuil)
    30 mai 2021

    Thermopompes - Représentations trompeuses (commerce itinérant)
    L’entreprise a notamment utilisé un prétexte pour solliciter la conclusion de contrats d’entretien sans détenir le permis requis.

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    L’entreprise Entretien Logistek et son dirigeant Richard Côté ont été condamnés pour avoir fait du commerce itinérant sans détenir le permis valide et avoir utilisé un prétexte pour solliciter la conclusion de contrats d’entretien de thermopompes.

    Ils mentionnaient notamment aux gens que l’entreprise qui leur avait vendu la thermopompe avait cessé ses activités et qu’ils avaient repris ses contrats.

    L’entreprise et son dirigeant ont été condamnés pour plusieurs autres infractions, dont celles d’avoir prétendu à tort être membres de l’Association des professionnels de la construction et de l’habitation du Québec (APCHQ), d’avoir utilisé des contrats non conformes et de ne pas y avoir annexé un formulaire de résolution qui permet aux consommateurs de les annuler dans un délai de 10 jours.

    L’entreprise devra acquitter des amendes de 67 527 $ et son dirigeant, 35 124 $.

    Les infractions se sont produites entre janvier et juin 2018 à Victoriaville, Farnham, Sherbrooke, Wotton, Saguenay, Mont-Laurier et La Pêche.

    Ce n’est pas la première fois que les deux contrevenants se font prendre en faute. Ils ont été reconnus coupables en 2019 et 2020 pour des infractions du même genre à Saguenay, Sherbrooke, Gatineau, Mont-Laurier et Granby.

    Au moment des infractions, l’adresse de l’établissement était le 1742, avenue Victoria, bureau 205, à Longueuil.

    L’OPC rappelle que tout consommateur dispose d’un délai de 10 jours pour annuler un contrat dans le domaine de l’énergie lorsque celui-ci est conclu à son domicile, et ce, sans qu’il n’en ait fait au préalable expressément la demande au commerçant. Ce domaine inclut les thermopompes, les panneaux solaires et les entreprises d’isolation.

  • C.C. Confort (Brossard)
    30 mai 2021

    Thermopompes - Représentations trompeuses (commerce itinérant)
    La dirigeante de l’entreprise et trois de ses représentants ont effectué des représentations trompeuses dans le cadre de la vente de thermopompes.

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    L’entreprise C.C. Confort, sa dirigeante Helai Khairzad et trois de ses représentants, Giancarlo Zegarra, Gabriel Guitard et Tommy Viboux, ont plaidé coupables d’avoir utilisé un prétexte pour solliciter des clients dans le cadre de la vente de thermopompes, en plus d’effectuer des représentations trompeuses au sujet des économies d’énergie auxquelles ils pouvaient s’attendre avec leur appareil. Ils ont également utilisé des contrats non conformes.

    L’entreprise devra acquitter des amendes totalisant 26 334 $ et sa dirigeante, 6648 $. Il s’agit dans les deux cas de récidives. Quant à Zegarra, Guitard et Viboux, ils ont écopé respectivement d’une amende de 2196 $, 1046 $ et 900 $.

    Les méfaits, qui remontent entre septembre 2018 et avril 2019, se sont déroulées à Saint-Stanislas-de-Champlain, Sainte-Anne-de-la-Pérade, Sainte-Thècle et Sainte-Catherine.

    Au moment des infractions, l’établissement était situé au 6185, boul. Taschereau, bureau 115, à Brossard.

    L’OPC rappelle que tout consommateur dispose d’un délai de 10 jours pour annuler un contrat dans le domaine de l’énergie lorsque celui-ci est conclu à son domicile, et ce, sans qu’il n’en ait fait au préalable expressément la demande au commerçant. Ce domaine inclut les thermopompes, les panneaux solaires et les entreprises d’isolation.

  • Réparation Sphaltech (Québec)
    24 février 2021

    Commerçant itinérant sans permis
    Le commerçant a fait de la vente itinérante sans détenir le permis obligatoire. Il a depuis régularisé sa situation.

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    L’entreprise Réparation Sphaltech, spécialisée dans l’entretien et la réparation d’asphalte, et son président, Mathieu Dubuc, ont reconnu avoir fait du commerce itinérant détenir de permis. Ils devront payer des amendes respectives de 3000 $ et 1046 $ pour des infractions commises à Sainte-Claire en septembre 2019.

    Le commerçant, dont les locaux sont situés au 3235-A chemin de la Gare à Québec, a depuis régularisé sa situation en obtenant son permis.

    Un commerçant itinérant est une personne ou une entreprise qui, ailleurs qu’à son établissement, conclut (ou tente de conclure) un contrat avec un consommateur, indique l’Office de la protection du consommateur (OPC).

    Ce type de commerçant est soumis à des règles particulières. Parmi ses obligations, il doit détenir un permis et verser un cautionnement en cas de non-exécution du contrat, de faillite ou de fermeture de l’entreprise. Il doit de plus remplir un contrat et en remettre une copie dûment signée au consommateur. On doit notamment y trouver le droit accordé au client d’annuler l’entente dans les 10 jours suivant celui où chacune des parties est en possession d’un double du contrat.

  • Climat confort (Saint-Michel)
    24 février 2021

    Commerçant itinérant sans permis
    Le commerçant a utilisé un prétexte pour solliciter la conclusion de contrats d’entretien d’une thermopompe.

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    L’entreprise Climat confort a été déclarée coupable d’avoir fait du commerce itinérant sans détenir le permis requis. On lui reprochait également d’avoir utilisé un prétexte pour solliciter la conclusion de contrats d’entretien d’une thermopompe, soit l’inspection du système dans le cadre de la garantie. L’entreprise devra payer des amendes totalisant 7124 $.

    Les infractions relevées ont été commises en décembre 2017 à Waterloo. Les locaux de l’entreprise étaient alors situés au 1678, rue Robert, à Saint-Michel.

    L’Office de la protection du consommateur signale que des commerçants itinérants continuent de solliciter des consommateurs dans le domaine de l’énergie (thermopompes, panneaux solaires, isolation) en utilisant des prétextes pour obtenir un rendez-vous et en faisant des promesses d’économie souvent trop belles pour être vraies.

    Si la vente de tels appareils ou d’un service d’entretien est effectuée au domicile du consommateur, sans que celui-ci ait demandé expressément au commerçant de se présenter chez lui, il dispose d’un délai de 10 jours pour annuler le contrat. Ce droit peut s’exercer même si le commerçant a déjà procédé aux travaux ou à l’installation de l’appareil.

    Avant de signer ce type de contrat, l’Office recommande aux consommateurs de prendre le temps de réfléchir, de vérifier et de comparer les offres.

  • Garantie Chauffage (Brossard)
    23 février 2021

    Thermopompes - Représentations trompeuses (commerce itinérant)
    L’entreprise et son président ont été reconnus coupables d’avoir utilisé un faux prétexte pour solliciter des contrats d’entretien.

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    Le président de l’entreprise Garantie Chauffage, Steve Chevalier, faisait croire qu’il était mandaté par le fabricant de thermopompes ou l’entreprise qui l’avait vendu pour faire l’inspection du système dans le cadre de la garantie. Les faits reprochés se sont déroulés en janvier 2017 à Brossard, Laval, Disraeli et Saint-Zotique.

    L’entreprise a écopé d’amendes totalisant 33 544 $, alors que son président devra payer 7482 $.

    Au moment des infractions, l’établissement était situé au 6185, boul. Taschereau, bureau 118, à Brossard.

    Si la vente de tels appareils ou d’un service d’entretien est effectuée au domicile du consommateur sans que celui-ci ait demandé expressément au commerçant de se présenter chez lui, il dispose d’un délai de 10 jours pour annuler le contrat. Ce droit peut s’exercer même si le commerçant a déjà procédé aux travaux ou à l’installation de l’appareil.

    Avant de signer ce type de contrat, l’Office recommande aux consommateurs de prendre le temps de réfléchir, de vérifier et de comparer les offres.

  • Pavage et Terrassement ALDO (Saint-Amable)
    03 novembre 2020

    Commerçant itinérant sans permis
    L’entreprise devra verser une amende de 7 562 $ pour avoir opéré sans permis et entravé le travail d’un enquêteur.

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    L’entreprise devra verser une amende de 7 562 $ pour avoir opéré sans permis et entravé le travail d’un enquêteur.

    L’Office de la protection du consommateur (OPC) lui reprochait d’avoir fait du commerce itinérant sans détenir le permis requis, en plus d’avoir omis d’annexer au contrat l’énoncé des droits et le formulaire de résolution qui permettent au consommateur de l’annuler dans un délai de 10 jours. L’entreprise a également été reconnue coupable d’avoir entravé le travail d’un enquêteur de l’OPC en refusant de lui fournir des renseignements et de lui remettre des documents.

    Les infractions ont été commises en septembre 2017, à Saint-Jean-sur-Richelieu. Au moment des fautes, l’entreprise était située au 1447, rue Martin, à Saint-Amable.

    Toute personne qui fait du commerce itinérant au Québec doit être titulaire d’un permis délivré par l’OPC. Ce permis et le cautionnement qui l’accompagne assurent aux consommateurs une protection financière en cas de non-exécution du contrat, de faillite ou de fermeture de l’entreprise.

    Un commerçant itinérant a l’obligation de remplir un contrat et d’en remettre une copie dûment signée au consommateur. Certains renseignements obligatoires doivent y figurer, comme le droit d’annuler le contrat dans les 10 jours qui suivent celui où chacune des parties est en possession d’un double du contrat.

    En plus d’un formulaire de résolution, le contrat doit également comprendre un énoncé des droits de résolution du consommateur.

  • Securassure Canada (Mont-Royal)
    03 novembre 2020

    Contrat non conforme
    L’entreprise a écopé d’amendes de 12 342 $ pour avoir utilisé des contrats non conformes.

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    L’entreprise spécialisée dans la vente et l’installation de systèmes de sécurité a écopé d’amendes de 12 342 $ pour avoir utilisé des contrats non conformes.

    Les contrats comportaient notamment des clauses interdites. L’une d’elles visait à se dégager des conséquences de son fait personnel ou de celui de son représentant. Une autre clause prévoyait des frais de résiliation de l’abonnement, alors qu’elle aurait dû porter une mention explicite indiquant qu’elle est inapplicable au Québec.

    L’entreprise a également été blâmée pour avoir omis d’annexer au contrat l’énoncé des droits du consommateur et le formulaire de résolution. Ces documents visent à l’informer de son droit d’annuler un contrat conclu avec un commerçant itinérant dans un délai de 10 jours.

    Les infractions ont été commises en décembre 2016 à La Malbaie et en juin 2017 à Gaspé.

    L’entreprise est située au 3901, rue Jean-Talon Ouest, bureau 301, à Mont-Royal.

    Des règles particulières de la Loi sur la protection du consommateur encadrent les contrats à exécution successive de services fournis à distance, dont les contrats de télésurveillance, de téléphonie cellulaire et résidentielle, de services de télévision, de chaînes musicales et d’accès à Internet. Ces règles touchent plusieurs aspects du contrat, notamment les renseignements obligatoires qu’il doit comprendre, son renouvellement et l’annulation.

  • Construction J. & R. Savard (Saint-Honoré)
    03 novembre 2020

    Évasion fiscale
    L’entreprise a reconnu sa culpabilité à des accusations reliées à la facturation et à la perception de la taxe de vente provinciale.

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    L’entreprise a reconnu sa culpabilité à des accusations reliées à la facturation et à la perception de la taxe de vente provinciale.

    Revenu Québec lui reprochait des manquements en lien avec la facturation et la tenue de ses registres. L’entreprise saguenéenne faisait face à six chefs d’accusation qui découlent, entre autres, d’une perquisition menée au siège social de l’entreprise le 10 avril 2019.

    L’entreprise, spécialisée dans le domaine de la construction et du génie-conseil, devra payer des amendes totalisant 40 000 $.

  • Pavage et Terrassement Rive-Sud (Contrecoeur)
    26 août 2020

    Commerçant itinérant sans permis
    L’entreprise était notamment accusée d’avoir agi comme commerçant itinérant sans détenir le permis requis.

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    L’entreprise Pavage et Terrassement Rive-Sud a été déclarée coupable d’avoir agi comme commerçant itinérant sans détenir le permis requis et d'avoir utilisé un contrat non conforme.

    L’Office de la protection du consommateur lui reprochait également d'avoir perçu le paiement total d'un service avant l’expiration du délai de 10 jours que la loi accorde au client d’un commerçant itinérant pour annuler le contrat.

    Les infractions ont été commises à Sainte-Martine, en septembre 2019.

    Au moment des infractions, l'entreprise Pavage et Terrassement Rive-Sud était située au 4419, route Marie-Victorin, à Contrecoeur.

    L’entreprise devra acquitter une amende totale de 6 062 $.

  • Paysagement Pascal Benoît (Saint-Roch-de L’Achigan)
    26 août 2020

    Omission de perception et de remise de taxes
    Le propriétaire a manqué à ses obligations de dirigeant d’une entreprise en omettant de percevoir et de verser au gouvernement les taxes requises par la loi.

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    Un résidant de Saint-Roch-de-l’Achigan, Pascal Benoît, faisant affaire sous le nom de Paysagement Pascal Benoît, a reconnu sa culpabilité aux accusations portées par Revenu Québec. Il devra acquitter une amende totale de 49 312 $.

    Revenu Québec lui reprochait d’avoir omis de percevoir et de remettre un montant de taxes et d’en produire les déclarations.

    Les infractions ont été commises entre le 1er mars 2012 et le 30 juin 2013.

    Ces condamnations font suite à une perquisition réalisée en septembre 2018.

  • Calfeutech (Laval)

    Entrave au travail d’une enquête
    L’entreprise a refusé de fournir à l’enquêteuse de l’Office de la protection du consommateur (OPC) des renseignements et des documents.

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    L’entreprise lavalloise a plaidé coupable à une accusation d’entrave au travail d’une enquêteuse de l’OPC en refusant de lui fournir des renseignements et de lui remettre des documents qu’elle était en droit d’obtenir.

    Elle devra payer une amende de 2500 $ pour des faits remontant à octobre 2019.

    Calfeutech est située au 4419, rue Stéphanie, à Laval.

    Toute entreprise ou individu ne peut entraver le travail d’un représentant de l’OPC. Il est également interdit de le tromper par omission ou fausse déclaration ou de refuser de lui fournir un renseignement ou un document qu’il est en droit d’obtenir. Les amendes prévues dans ce cas varient de 600 $ à 15 000 $ dans le cas d’un individu, et de 2000 $ à 100 000 $ pour une personne morale.