Champagne!

C'est du moins ce qui ressort de la (presque) totalité des messages reçus en réponse à la première chronique de Joanie Metivier (Champagne ou vin mousseux?) publiée sur notre blogue.

«Le champagne [est au] mousseux [ce que Apple est] à Microsoft […] ou Samsung. Ce n’est pas meilleur, mais tu vas payer quatre fois le prix, juste pour le nom», affirme Carl-Sébastien St-Denis.

Une opinion plus tranchée que celle de notre chroniqueuse, qui rappelait dans son texte le fait que ce sont deux catégories de vins très différentes, qui ne cherchent pas nécessairement à se mesurer l’une à l’autre.

«Je vis entre le Québec et l’Europe et je suis un amateur de bulles. Au début, j’ai acheté du champagne dans des salons de vente de vins. [Puis,] un de mes amis m’a fait connaître les vins mousseux du Luxembourg qui – à 12 euros – étaient supérieurs à ce que j’achetais à des producteurs privés de la région de la Champagne pour 40 euros», raconte Pierre Labrador, qui évoque aussi de belles découvertes parmi les «vins mousseux  provenant d’Italie, d’Espagne, de Roumanie et de France».

L’important, comme l’écrivait Joanie, c’est d’explorer et de laisser ses préjugés de côté.

Test et chronique: deux mondes

«Le [texte] sur le champagne et le mousseux était sympa, j’aurais apprécié une liste de produits», nous écrit France Côté. Or, Protégez-Vous fait une distinction claire entre ses évaluations de vins, qui sont supervisées par l’expert Marc Chapleau en collaboration avec le service des Tests, et les chroniques, rédigées avec rigueur, mais sur un ton plus décontracté.

Dans sa prochaine chronique, Joanie partagera avec vous ses connaissances sur les vins désalcoolisés que vous serez peut-être tentés de goûter si vous faites le «Défi 28 jours sans alcool».

Elle ne vous recommandera toutefois pas de bouteilles en particulier, puisque ce type de travail est réservé à notre panel d’experts, qui goûte à l’aveugle, selon un protocole bien établi.