Voyager en formule « tout-inclus » au Mexique, à Cuba ou en République dominicaine, c’est aussi côtoyer la misère des populations locales. Mis à part les pourboires et les cadeaux au personnel hôtelier, comment soutenir l’économie du pays visité ?
La Montréalaise Julie Nault adore voyager. Au moment de notre entretien, elle s’apprêtait à s’envoler pour la Corse. Mais lorsqu’elle a besoin de repos, elle choisit des « vacances faciles » de type « tout-inclus » dans le Sud – comme le font des milliers de Québécois chaque année. « Je me fais beaucoup solliciter par des marchands sur les plages. Plutôt que de
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